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    Cлово "LETTRE"


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    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    3. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    4. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    5. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    6. Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826.
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    7. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822.
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    8. Батюшков — Тургеневу А. И., 10 сентября 1818.
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    9. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    10. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    11. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    12. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: été adressée par estafette, j’ai sur le champ pris les mésures nécessaires pour faire partir m-r Batuchkof, dont l’état devenait de jour en jour plus alarmant. Après être convenu avec m-r Mulhausen de tout ce qu’il y avait à faire pour remplir les intentions bienfaisantes de Sa Majesté à son égard, nous nous sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans...
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    Часть текста: 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 330—331 (1-й паг.). Е. Г. Пушкина къ В. А. Жуковскому. Dresde. Le 23 mars 1825. Monsieur! Avec quel sentiment de joie je prends la plume en main, pour vous annoncer l’heureuse nouvelle, que notre infortuné ami vient de se soumettre enfin à un traitement suivi! Votre coeur bon et sensible comprendra à merveille tout ce qu’éprouve le mien aujourd’hui, en vous transmettant la lettre ci-jointe. J’ai eu deux fois la triste douceur de voir le cher et malheureux Batuchkof: j’avais employé auprès de lui l’éloquence d’une amitié profondément sentie, et le tout en vain; son obstination à repousser les remèdes faisait mon désespoir. Lors de ma dernière visite, je renouvellai mes instances, il me dit: „Si vous voulez que je me fasse traiter, emmenez moi à Dresde, laissez moi loger sous le même toît que vous, et je vous promets de tout prendre de votre main, même du poison“. Ma réponse fut, que je ne refuserai pas de le loger chez moi, après qu’il aura pris des remèdes l’espace de trois semaines; je le menaçai même do ne plus revenir le voir à Sonnenstein. Il demeurait infléxible, et je le quittai la mort dans l’âme. Au bout de quinze jours j’en reçus une lettre, dans laquelle il me renouvellait ses prières. Je me hâtai de lui répondre, que tant qu’il s’obstinerait à me refuser ma demande de se soumettre aux avis de m-r Pinitz, je me croyais en droit d’être aussi infléxible que lui. Il m’ecrivit une réponse fulminante, me disant qu’il ne me reconnaissait plus que j’étais de moitié...
    3. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: J’ai quitté Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme à votre bienveillante amitié. Mademoiselle Batuchkof part avec moi; son frère nous suivra dans quinze jours On lui a dit je ne sais trop pourquoi, qu’il devait quitter Sonnenstein, et depuis ce moment là il ne quitte plus sa cellule, ne parle avec personne, reste dans une innaction parfaite et attend...
    4. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: passé et que Barbe a beaucoup dansé. Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je suis mal servi, mes effets se perdent à chaque moment, mon linge est abîmé. Ecrivez à Platon, qu’il habille le petit qui est chez lui, je l’enverrai chercher d’ici, par des courriers qui vont à Pétersbourg, mais ne manquez pas de le prévenir le plutôt possible. Et payez lui le reste de ce que je lui dois. Ce petit me servira beaucoup mieux. Je ne veux pas de nos grands domestiques. Un soldat soigne mes chevaux. Et ce qui vaut mieux encore, priez Gneditch, qu’il garde chez lui ce garçon jusqu’à ce que je l’envoye chercher. Au nom de Dieu faites cela, je suis le martyr des gens qui m’environnent. Nous avons souvent des bals à Abo. Mad-e Tcheglocof est ici, je vais la voir de tems ...
    5. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    Часть текста: Baumann, de Dorpat, que peut être vous connaissez dejà personnellement. Il a conduit jusqu’à Drèsde un jeune homme m-r Batuchkof; c’est un de mes meilleurs amis: il a eu le malheur d’avoir l’esprit aliené. D’après le conseil des docteurs de Pétérsbourg, on s’est decidé de le placer à Sonnenstein sous la garde du docteur Pinitz, auquel on a déjà écrit sur ce sujet, et qui dans sa réponse (qu’il a fait au docteur Hufeland) a declaré qu’il consentait de recevoir Batuchkof chez lui pour la somme de 800 à 1.200 thalers (pour traitement, logement et nourriture). D’après cela la soeur de Batuchkof l’a conduit à Drésde. Permettez moi de confier et le frère et la soeur à vos soins bienfaisants, donnez vous la peine de recommender mon malheureux ami au soins de monsieur Pinitz, et une fois qu’il sera placé, ne lui refusez pas votre protection. On est persuadé qu’il sera parfaitement bien à Sonnenstein, où l’on traite avec humanité et douceur les malades, où l’on possède tous les moyens necessaires pour la guérison de cette sorte de maladies: mais en...
    6. Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826.
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    Часть текста: — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826. Батюшков К. Н. Письмо Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта [1826 г.?] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 585. IV. Е. Г. Пушкиной. —— Sonnestein, le 11 mars (1826?). Votre lettre a été dictée par mes bourreaux et par des charlatans: je n’y attache nul intérêt. J’attends ici la réponse de Sa Majesté l’Empereur, qui sera digne de lui. Tant pis pour tous, tant pis pour monsieur de Canicof, si je ne sortais d’içi qu’avec une santé ruinée. Un seul mot de monsieur de Canicof, et c’est toujours à lui que je me fais un devoir de recourir, peut prévenir bien des maux ou bien m’égarer. Içi les bains sont des tortures, la médecine du poison, les médecins des scélérats. C’est ce que je vous ai dit plusieurs fois, madame. Toutefois, ce n’est plus à vous à me donner des conseils. Je ne relève que de l’Empereur, m’étant adressé à lui, que de monsieur Canicoff, qui est notre ministre à Dresde; tout ce conventicule infâme n’est d’aucune autorité pour moi. Votre fille sera ma femme, et je serai toujours votre ami...
    7. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822.
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    Часть текста: — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822. Батюшков К. Н. Письмо графу Нессельроду К. В., [18 апреля 1822 г. Петербург] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 576. CCXCI. Графу К. В. Нессельроду. —— (18-го апрѣля 1822 г. Петербургъ.) Monsieur le comte! Ayant profité de l’autorisation éventuelle que votre excellence a bien voulu m’annoncer par sa lettre du 14 janvier, j’ai cherché à mettre quelque ordre à mes affaires, et je comptai retirer plus d’un avantage de mon arrivée, en poursuivant la carrière de mon service sous les auspices du ministère. Mais l’état de ma santé réclamant de nouveau l’usage des eaux thérmales et celui des bains de mer, je prends la liberté de solliciter des bontés de votre excellence la permission de me rendre au Caucase et en Tauride. J’ose espérer, monsieur le comte, que vous daignerez m’obtenir pour cela l’agrément de Sa Majesté l’Empereur, la conservation temporaire des bienfaits que je dois à son inépuisable munificence, et des lettres de recommandation pour les autorités préposées aux pays que je vais visiter, heureux si la belle saison et des climats salubres me donnent enfin les forces nécessaires pour reprendre une activité que j’ai chérie, et pour justifier les bontés dont vous daignez me combler. Je suis avec respect, monsieur le comte, de votre excellence le très humble et très obéissant serviteur C. Batuchkof. S.-Pétersbourg, le 18...
    8. Батюшков — Тургеневу А. И., 10 сентября 1818.
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    Часть текста: Тургеневу А. И., [10 сентября 1818 г. Москва] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 531—534. CCLXX. А. И. Тургеневу. —— (10-го сентября 1818 г. Москва). Письмо ваше отъ 3-го сентября получилъ сегодня, то-есть, 10-го. Благодарю васъ за увѣдомленіе , очень благодарю. Когда появится въ газетахъ? Приготовлю все. Я къ вамъ явлюсь къ концу сего мѣсяца , неся въ маленькомъ сердцѣ моемъ много признательности къ вамъ, доброму человѣку . Не въ Неаполѣ жить, а вамъ быть признательнымъ: вотъ мое сладострастіе. Скажите Вяземскому и еще другое сладострастіе: сдѣлаться достойнымъ дружбы достойныхъ людей. Я знаю Италію, не побывавъ въ ней. Тамъ не найду счастія: его нигдѣ нѣтъ; увѣренъ даже, что буду грустить о снѣгахъ родины и о людяхъ мнѣ драгоцѣнныхъ . Ни зрѣлища чудесной природы, ни чудеса искусства, ни величественныя воспоминанія не замѣнятъ для меня васъ и тѣхъ , кого привыкъ любить. Привыкъ! Разумѣете меня? Но первое условіе — жить , а здѣсь холодно, и я умираю ежедневно. Вотъ почему желалъ Италіи и желаю. Умереть на батареѣ — прекрасно; но въ тридцать лѣтъ умеретъ въ постели — ужасно, и право мнѣ что-то не хочется. И потому-то спѣшу къ вамъ, чтобъ отъ васъ въ октябрѣ отправиться въ Вѣну . Надѣюсь , что мнѣ позволятъ ѣхать pian-pianino. Въ ожиданіи лучшаго, слушать буду сегодня переводъ Мерзлякова, у котораго много пламенныхъ стиховъ и другаго прочаго . Ни слова не скажу о переводѣ , напечатанномъ въ Сынѣ Отечества . Я согласенъ съ мнѣніемъ Греча, изложеннымъ въ точкахъ. Поздравляю академію: преузорочно! «Часть открытыхъ...
    9. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: doute déjà informé du malheureux état de M-r Batuchkof. Depuis le mois d’août qu’il est arrivé ici, malgré les soucis de m-r Mulhausen, malgré tout ce que j’ai pu faire, son état n’a fait qu’empirer parcequ’il a persisté à tout faire en conséquence. Enfin aujourd’hui c’est au delà de tout ce qu’on peut dire, et je crains bien que quand cette lettre vous parviendra, il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la chose et dans une auberge dont je n’ai jamais pu parvenir à le faire sortir malgré tous mes efforts, d’autant plus qu’il est toujours enfermé et ne laisse entrer qu’une fille qui le sert depuis plusieurs mois; il a renvoyé son domestique, persuadé qu’il est de connivence avec ceux qui le persécutent. Enfin, monsieur le comte, vous ne sauriez vous faire l’idée combien ce malheureux jeune homme est à plaindre. Je ne conçois pas quelle cause a pu le plonger dans cet état. Je suis bien faché qu’il aie choisi ce pays pour venir finir aussi tristement, car il m’a fait un mal inoui; je vous assure, monsieur le comte, que je ne puis y penser de sang froid; comment voir mourir aussi tristement un...
    10. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    Часть текста: 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 325—326 (1-й паг.). Н. И. Перовскій графу К. В. Нессельроду. Simferopol. Le 19 avril 1823. Monsieur le comte! Je m’empresse de vous informer de la réception de votre lettre en date du 4 avril, par laquelle vous me faites savoir les ordres de l’Empereur au sujet de M-r Batuchkof, et sans perdre un instant j’ai fait les dispositions nécessaires pour les exécuter. Son état n’a fait qu’empirer, et j’ai eu bien de la peine à le conserver jusqu’à présent. Il a fait plusieurs tentatives, mais qui heureusement ont été détournées par les mesures que j’ai prises. Il a voulu se jeter par la fenêtre, il a cherché à s’évader, il a demandé à differentes reprises que je lui fasse rendre son épée, que je lui donne des rasoirs pour se faire la barbe, mais voyant que tout cela ne réussissait pas, il a cherché à ravoir sa liberté en me rendant responsable des...