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    1. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822.
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    2. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    3. Кавелин — Жуковскому В. А., 13 февраля 1823 г.
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    4. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    5. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    6. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    7. Италинский — графу Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г.
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    8. Анекдот о свадьбе Ривароля.
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    9. Батюшков — Вяземскому П. А.,17 октября 1811.
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    1. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822.
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    Часть текста: — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822. Батюшков К. Н. Письмо графу Нессельроду К. В., [18 апреля 1822 г. Петербург] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 576. CCXCI. Графу К. В. Нессельроду. —— (18-го апрѣля 1822 г. Петербургъ.) Monsieur le comte! Ayant profité de l’autorisation éventuelle que votre excellence a bien voulu m’annoncer par sa lettre du 14 janvier, j’ai cherché à mettre quelque ordre à mes affaires, et je comptai retirer plus d’un avantage de mon arrivée, en poursuivant la carrière de mon service sous les auspices du ministère. Mais l’état de ma santé réclamant de nouveau l’usage des eaux thérmales et celui des bains de mer, je prends la liberté de solliciter des bontés de votre excellence la permission de me rendre au Caucase et en Tauride. J’ose espérer, monsieur le comte, que vous daignerez m’obtenir pour cela l’agrément de Sa Majesté l’Empereur, la conservation temporaire des bienfaits que je dois à son inépuisable munificence, et des lettres de recommandation pour les autorités préposées aux pays que je vais visiter, heureux si la belle saison et des climats salubres me donnent enfin les forces nécessaires pour reprendre une activité que j’ai chérie, et pour justifier les bontés dont ...
    2. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    Часть текста: réunirons tous sous notre toît hospitalier pour ne plus nous séparer. Comment se porte Lisabeth et Paul? Ecrivez moi je vous prie en détail. Tout m’intéresse ici, et tout ce qui vient de vous, mes chères soeurs, m’intéresse doublement. Je n’ose parler de nos affaires, je n’en sais rien. Mon père m’a écrit plusieurs lettres. Il prie mon frère Paul de lui faire parvenir la mienne. Tâchez, mes amies, de vous tranquilliser sur mon sort. Je bois ici à longs traits l’ennui avec l’ésperance toujours douce et trompeuse d’un avenir plus agréable. Nous revenons d’une expédition assez périlleuse, c’est à dire des iles d’Aland. Réprésentez vous une armée de 20 mille hommes sur la glace et en bivouaque. Mais tout passe et les périls ne sont bons qu’à être aussi oubliés. Le printemps s’approche. Plantez vos choux, ma chère Alexandrine, mais n’allez pas labourer mon parti. J’embrasse cent fois notre chère Babette — je la recommande au Tout-Puissant, notre seul et unique Protecteur. Soyez unies, mes chères amies, aimons nous jusqu’au tombeau et que le voeu de la meilleure des mères soit accompli! Je remercie, mes bonnes amies, pour l’argent que vous m’avez envoyé. Je vous prie de me faire venir pour le mois de mai 500 dont j’aurai bien besoin pour mon retour. La vie est bien dure et chère ici, le cheval m’a couté quelque fois 5...
    3. Кавелин — Жуковскому В. А., 13 февраля 1823 г.
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    Часть текста: во время его отсутствія, навѣдываться къ больному). Прежде нежели идти къ нему, я написалъ ему, что я пріѣхалъ сюда по службѣ и имѣю письмо отъ Жуковскаго, то велитъ ли прислать его, или захочетъ видѣться со мною. Онъ прислалъ меня звать. Я нашелъ его лежащаго въ халатѣ на постелѣ , въ чрезвычайно холодной комнатѣ . Принялъ онъ меня ласково, распрашивалъ о тебѣ , о Катеринѣ Ѳедоровнѣ Муравьевой, о Никитѣ Муравьевѣ и объ Олениныхъ; говорилъ очень хорошо, пока не коснулся гоненій , son idée fixe: будто бы онъ кѣмъ-то гонимъ тайно, будто всѣ окружавшіе его на Кавказѣ и здѣсь суть орудія, употребленныя его врагами, чтобъ довесть его до отчаянія, будто даже человѣкъ его подкупленъ ими и дѣлалъ разныя грубости и непослушанія. Онъ не велѣлъ ему показываться къ себѣ , а обѣдъ и что нужно приноситъ ему служанка, съ которою впрочемъ онъ никакихъ другихъ сообщеній не имѣетъ . Лицомъ онъ не худъ и мнѣ кажется даже полнѣе , нежели я видѣлъ его года четыре тому назадъ, но блѣденъ , и видно, что онъ разстроенъ. Говоритъ очень дѣльно , пока не дойдетъ до гоненій; тогда слезы навертываются на глазахъ, и уже замѣтно разстройство; выраженія его на этотъ счетъ, сколько я могъ запомнить: „Я перенесъ то, что не многіе перенесть могутъ; меня захаркали, заплевали; я весь разбитъ; я былъ въ сильной горячкѣ , былъ почти полуумный, изъ меня дѣлали сумасшедшаго; я нѣсколько разъ хотѣлъ зарѣзаться“ . Я перервалъ его: „Вы никогда не были безбожникомъ; очень увѣренъ , что вы страдаете невинно, но Богъ милостивъ!“ „Я это очень знаю, вѣра меня и удержала отъ преступленія“ (а въ другое свиданіе...
    4. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    Часть текста: sans perdre un instant j’ai fait les dispositions nécessaires pour les exécuter. Son état n’a fait qu’empirer, et j’ai eu bien de la peine à le conserver jusqu’à présent. Il a fait plusieurs tentatives, mais qui heureusement ont été détournées par les mesures que j’ai prises. Il a voulu se jeter par la fenêtre, il a cherché à s’évader, il a demandé à differentes reprises que je lui fasse rendre son épée, que je lui donne des rasoirs pour se faire la barbe, mais voyant que tout cela ne réussissait pas, il a cherché à ravoir sa liberté en me rendant responsable des souffrances par les quelles il terminerait ses jours, puisque je ne voulais pas lui laisser la liberté de le faire de la manière la moins douloureuse, car sur cet article il est demeuré impérturbable, et je lui ai déclaré que tant qu’il persisterait dans ce projet, je devais absolument employer tous les moyens qui étaient en mon pouvoir pour l’en empécher. En attendant, m-r Mulhausen n’a cessé de le voir, et il a toujours insisté auprès de lui pour qu’on le laisse entièrement libre, mais toujours dans la ferme résolution de se détruire; je lui ai proposé de le faire raser, mais il a refusé disant qu’il voulait qu’on lui donne des rasoirs, ainsi il est resté avec sa barbe. Je vous avoue, monsieur le comte, que n’ayant aucun moyen de le soulager, ni même de prévenir complétement un malheur, j’ai cherché autant que possible à gagner du temps par des ...
    5. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: Т. 1. — 1887 . — С. 323—324 (1-й паг.). Н. И. Перовскій графу К. В. Нессельроду. Simferopol. Le 15 mars 1823. Monsieur le comte! Vous êtes sans doute déjà informé du malheureux état de M-r Batuchkof. Depuis le mois d’août qu’il est arrivé ici, malgré les soucis de m-r Mulhausen, malgré tout ce que j’ai pu faire, son état n’a fait qu’empirer parcequ’il a persisté à tout faire en conséquence. Enfin aujourd’hui c’est au delà de tout ce qu’on peut dire, et je crains bien que quand cette lettre vous parviendra, il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la...
    6. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    Часть текста: году // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 317—318 (1-й паг.). Докладная записка о К. Н. Батюшковѣ , представленная графу И. А. Капо д’Истріа въ 1817 году 1 ). Il n’est point de devoir plus agréable à remplir, que celui de signaler le mérite modeste aux yeux du digne dépositaire de la confiance de l’Empereur. Mr. de Batuchkof est entré au service en 1805. Il n’a fait que suivre sa vocation la plus chère en embrassant à cette époque la carrière de l’instruction publique; il justifia bientôt par ses talents la bienveillance particulière que lui témoigna mr. de Mouravief, curateur de l’université de Moscou, auprès duquel il remplit les fonctions de secrétaire. En 1807 la voix de la patrie lui fit prendre les armes. Il participa aux affaires de Guttstadt, de la Passarge et de Heilsberg, où il reçut une blessure grave à la jointure de la cuisse; une balle la traversa. Pour récompense il fut placé au régiment des chasseurs de la garde comme enseigne. Il fit postérieurement les...
    7. Италинский — графу Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г.
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    Часть текста: européenne, que par son beau talent pour la poésie, qui fait de lui un ornement de sa patrie, cet employé, dis-je, n’a presque pas de fortune. Ces considérations, autant que la circonstance qui fait qu’il n’a point encore été assez heureux pour obtenir quelque témoignage de la satisfaction souveraine depuis qu’il sert dans la diplomatie, m’engagent à supplier votre excellence de vouloir bien obtenir, pour monsieur de Batuchkof, la munificence de Sa Majesté l’Empereur, un congé illimité, afin de soigner sa santé, avec une augmentation d’appointements de 500 roubles bonifiés, ce qui avec les mille roubles argent qu’il a à cette heure, lui ferait un total de 1,500 roubles bonifiés. Les productions littéraires de cet employé qui lui ont valu tant en Russie qu’à l’étranger une réputation justement méritée, sont de sûrs garants, qu’avec le rétablissement de sa santé il pourra reprendre ses fonctions et enrichir encore notre littérature nationale de nouvelles productions, où l’on retrouvera, je n’en doute pas, toute la beauté de son caractère, toute la richesse de son imagination au milieu d’une diction toujours aussi pure qu’élégante. J’ai l’honneur d’être avec la plus haute considération, monsieur le comte, de votre...
    8. Анекдот о свадьбе Ривароля.
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    Часть текста: вельможи, преобразовалъ имя свое и изъ Риварота сдѣлался Риваролемъ. Послѣднее ему показалось благозвучнѣе . Сколько было и есть стихотворцевъ, присвоившихъ себѣ имена деревень, которыя осчастливлены ихъ рожденіемъ — для блага народовъ. Фортуна улыбнулась господину Риваролю. Желая блеснуть въ большомъ свѣтѣ , проказникъ нашъ однажды, лежа на постели и Покояся еще подъ авторскимъ наметомъ, провозгласилъ себя велегласно сіятельнымъ графомъ, облагородилъ все свое семейство, назначилъ цвѣтъ и галуны ливреи, раскрасилъ гербъ свой и приложилъ къ оному всѣ знаки, каковыми могли гордиться его родственники со стороны женскаго колѣна . Потомъ славный г. Ривароль долженъ былъ вопреки своимъ метафорамъ, по примѣру бѣдныхъ дворянъ, приняться за убогой завтракъ; ибо мы, сыны персти, Похлебкою живемъ, не красными словами. Однажды съ тощимъ желудкомъ прогуливаясь въ Люксамбургѣ , онъ увидѣлъ женщину большаго роста, одѣтую почти въ лохмотья, но важную, осанистую, настоящую театральную царицу. Сіятельный графъ вступилъ съ нею въ разговоръ. «Вы не догадываетесь, государь мой», сказала...
    9. Батюшков — Вяземскому П. А.,17 октября 1811.
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    Часть текста: и, вздыхая отъ глубины сердца, говорю, какъ Лафонтенова перепелка: S’il dependait de moi, je passerais ma vie En plus honnête compagnie. Потомъ я долженъ ѣхать въ Питеръ: долженъ, ибо клянусь тебѣ моимъ здравымъ разсудкомъ, что я бы предпочелъ всему Москву, въ которой живетъ Вяземскій, котораго я люблю, и который, можетъ быть, меня посылаетъ къ чорту. Сколько которыхъ ! Извини! Я разучился писать. Ты былъ боленъ! Конечно, отъ желудка? Береги себя и кушай меньше: умереть отъ обжорства — смерть, конечно, и славная, и завидная, но не въ твои лѣта , притомъ же и не теперь, когда могутъ плакать прелестные глаза объ тебѣ , мой баловень! Болѣзнь твоя прошла: ты женатъ. Я часто мысленно переношусь въ Москву, ищу тебя глазами, нахожу и въ радости взываю: Се ты, се ты, супругъ, семьянинъ, въ шлафрокѣ и въ колпакѣ , по утру за чайнымъ столикомъ, въ вечеру за бостономъ! Quantum mutatus ad illo! Я начинаю вѣрить вліянію кометы, и ты тому причиною. Все къ лучшему, дай руку! Будь счастливъ и прости! К. Б. Если ты женатъ, мой любезный другъ, то повергни къ ногамъ княгини мое поздравленіе и цѣлый коробъ желаній о счастіи, желаній самыхъ усерднѣйшихъ , за которыя ты можешь ручаться головою; скажи ей — и ты не солжешь, — что этотъ чудакъ ни къ чему не годенъ, но онъ болѣе смѣшенъ , нежели глупъ, болѣе добръ, нежели глупъ; что этотъ чудакъ тебя любитъ, какъ брата; что ты его любишь,...