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    Cлово "PETERSBOURG"


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    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    3. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    4. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822.
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    5. Батюшков — Муравьевой Е. Ф., четверг, исход мая 1818.
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    6. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    7. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    8. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    9. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    10. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi...
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    Часть текста: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 330—331 (1-й паг.). Е. Г. Пушкина къ В. А. Жуковскому. Dresde. Le 23 mars 1825. Monsieur! Avec quel sentiment de joie je prends la plume en main, pour vous annoncer l’heureuse nouvelle, que notre infortuné ami vient de se soumettre enfin à un traitement suivi! Votre coeur bon et sensible comprendra à merveille tout ce qu’éprouve le mien aujourd’hui, en vous transmettant la lettre ci-jointe. J’ai eu deux fois la triste douceur de voir le cher et malheureux Batuchkof: j’avais employé auprès de lui l’éloquence d’une amitié profondément sentie, et le tout en vain; son obstination à repousser les remèdes faisait mon désespoir. Lors de ma dernière visite, je renouvellai mes instances, il me dit: „Si vous voulez que je me fasse traiter, emmenez moi à Dresde, laissez moi loger sous le même toît que vous, et je vous promets de tout prendre de votre main, même du poison“. Ma réponse fut, que je ne refuserai pas de le loger chez moi, après qu’il aura pris des remèdes l’espace de trois semaines; je le menaçai même do ne plus revenir le voir à Sonnenstein. Il demeurait infléxible, et je le quittai la mort dans l’âme. Au bout de quinze jours j’en reçus une lettre, dans laquelle il me renouvellait ses prières. Je me hâtai de lui répondre, que tant qu’il s’obstinerait à me refuser ma demande de se soumettre aux avis de m-r ...
    3. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    Часть текста: Mr. de Batuchkof est entré au service en 1805. Il n’a fait que suivre sa vocation la plus chère en embrassant à cette époque la carrière de l’instruction publique; il justifia bientôt par ses talents la bienveillance particulière que lui témoigna mr. de Mouravief, curateur de l’université de Moscou, auprès duquel il remplit les fonctions de secrétaire. En 1807 la voix de la patrie lui fit prendre les armes. Il participa aux affaires de Guttstadt, de la Passarge et de Heilsberg, où il reçut une blessure grave à la jointure de la cuisse; une balle la traversa. Pour récompense il fut placé au régiment des chasseurs de la garde comme enseigne. Il fit postérieurement les campagnes de Finlande: il se trouva aux deux affaires d’Idensalmi et fit partie de l’expédition d’Aland. En 1809, il obtint, avec le rang de sous-lieutenant et l’uniforme, une démission que ses blessures réclamaient impérieusement. Vers la fin de 1812, il suivit de nouveau les drapeaux de l’armée et entra au régiment de Rylsk avec le rang de capitaine en second. D’abord aide de camp du lieutenant-général Bakhmétef, il remplit ensuite les mêmes...
    4. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822.
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    Часть текста: — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822. Батюшков К. Н. Письмо графу Нессельроду К. В., [18 апреля 1822 г. Петербург] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 576. CCXCI. Графу К. В. Нессельроду. —— (18-го апрѣля 1822 г. Петербургъ.) Monsieur le comte! Ayant profité de l’autorisation éventuelle que votre excellence a bien voulu m’annoncer par sa lettre du 14 janvier, j’ai cherché à mettre quelque ordre à mes affaires, et je comptai retirer plus d’un avantage de mon arrivée, en poursuivant la carrière de mon service sous les auspices du ministère. Mais l’état de ma santé réclamant de nouveau l’usage des eaux thérmales et celui des bains de mer, je prends la liberté de solliciter des bontés de votre excellence la permission de me rendre au Caucase et en Tauride. J’ose espérer, monsieur le comte, que vous daignerez m’obtenir pour cela l’agrément de Sa Majesté l’Empereur, la conservation temporaire des bienfaits que je dois à son inépuisable munificence, et des lettres de recommandation pour les autorités préposées aux pays que je vais visiter, heureux si la belle saison et des climats salubres me donnent enfin les forces nécessaires pour reprendre une activité que j’ai chérie, et pour justifier les bontés dont vous daignez me combler. Je suis avec respect, monsieur le comte, de votre excellence le...
    5. Батюшков — Муравьевой Е. Ф., четверг, исход мая 1818.
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    Часть текста: , и гдѣ Никита присутствовалъ. Онъ бодръ и веселъ: о чемъ ему скучать и сокрушаться? У него нѣтъ никакихъ несчастій, и имѣя такую мать, какъ вы, и столько даровъ Провидѣнія , можно ли роптать на Него и называть себя несчастливымъ? У него же разсудокъ слишкомъ здравъ: вы это лучше моего знаете. Цѣлые дни мы проводимъ вмѣстѣ или у него, или у Полторацкихъ, или на улицѣ . Сегодня я обѣдаю у Никиты и вмѣстѣ поѣдемъ въ садъ дворцовый, если дождь уймется. О себѣ сказать ничего не могу: къ досадѣ моей Петръ Михайловичъ еще не воротился изъ Калуги, и я не могу выѣхать изъ Москвы, не кончивъ съ нимъ переговоровъ о маленькомъ братѣ , что меня разстроиваетъ. Здѣсь деньги и время ( двѣ вещи, которыми я научился дорожить) между пальцевъ проходятъ. Разстоянія ужасныя, и каждое свиданіе похищаетъ цѣлые часы. Спѣшу оставить Москву и прямо въ Одессу пробраться. Скюдери, съ которымъ я вчера видѣлся , и другіе, бывшіе въ Крыму, увѣряютъ , что воды и грязи истинно цѣлебны . Какъ бы то ни было, самое путешествіе приноситъ пользу, и мы съ Никитой часто говоримъ: еслибъ маменька вздумала съѣздить въ ...
    6. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je suis mal servi, mes effets se perdent à chaque moment, mon linge est abîmé. Ecrivez à Platon, qu’il habille le petit qui est chez lui, je l’enverrai chercher d’ici, par des courriers qui vont à Pétersbourg, mais ne manquez pas de le prévenir le plutôt possible. Et payez lui le reste de ce que je lui dois. Ce petit me servira beaucoup mieux. Je ne veux pas de nos grands domestiques. Un soldat soigne mes chevaux. Et ce qui vaut mieux encore, priez Gneditch, qu’il garde chez lui ce garçon jusqu’à ce que je l’envoye chercher. Au nom de Dieu faites cela, je suis le martyr des gens qui m’environnent. Nous avons souvent des bals à Abo. Mad-e Tcheglocof est ici, je vais la voir de tems en tems, elle est bien...
    7. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    Часть текста: 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 329 (1-й паг.). В. А. Жуковскій къ Эрдманну. (Черновой проектъ). (Весна 1824 г.). Cher et respectable ami! Je m’adresse à votre humanité; j’ose demander votre assistance dans une affaire qui m’interesse infinement. Cette lettre vous sera remise par le docteur Baumann, de Dorpat, que peut être vous connaissez dejà personnellement. Il a conduit jusqu’à Drèsde un jeune homme m-r Batuchkof; c’est un de mes meilleurs amis: il a eu le malheur d’avoir l’esprit aliené. D’après le conseil des docteurs de Pétérsbourg, on s’est decidé de le placer à Sonnenstein sous la garde du docteur Pinitz, auquel on a déjà écrit sur ce sujet, et qui dans sa réponse (qu’il a fait au docteur Hufeland) a declaré qu’il consentait de recevoir Batuchkof chez lui pour la somme de 800 à 1.200 thalers (pour traitement, logement et nourriture). D’après cela la soeur de Batuchkof l’a conduit à Drésde. Permettez moi de confier et le frère et la soeur à vos soins bienfaisants, donnez vous la peine de recommender mon malheureux ami au soins de monsieur Pinitz, et une fois qu’il sera placé, ne lui refusez pas votre protection. On est persuadé qu’il sera parfaitement bien à Sonnenstein, où l’on traite avec humanité et douceur les malades, où l’on possède tous les moyens necessaires pour la guérison de cette sorte de maladies: mais en recommandant mon malheureux ami particulièrement à ...
    8. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: convenu avec m-r Mulhausen de tout ce qu’il y avait à faire pour remplir les intentions bienfaisantes de Sa Majesté à son égard, nous nous sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la preuve était que j’avais ordre, vu l’état de sa faible santé, de songer aux moyens de le faire arriver à Pétersbourg en le confiant pendant ce voyage aux soins d’un homme aussi éclairé qu’humain (et cet homme lui était designé dans la...
    9. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    Часть текста: dans une maison la plus hospitalière qui puisse jamais exister. Je respire à la fin. Le médecin est excellent. On m’entoure de fleurs, on me berce comme un enfant. Ah, mes amies, ce que j’ai souffert dans une voie un peu précipitée de Heilsberg, où j’ai été blessé jusqu’à Riga, couché dans une misérable charrette. Mais tout a fini, et je loue l’Éternel de m’avoir conservé la vie pour vous, mes seules et douces amies. Depuis la lettre que Richter m’a remise je n’ai point eu de nouvelles de vous. Écrivez moi à Riga, je compte rester ici deux semaines, et puis venir chez vous, ayant déjà obtenu la permission d’aller à Pétersbourg. Отъ папеньки я не имѣлъ ни одного письма. Каковъ онъ? Здоровъ ли? Писать ли мнѣ къ нему объ ранѣ ? Постарайтесь, мои други, послать мнѣ денегъ. Кромѣ тѣхъ , что Alexandrine мнѣ прислала, я отъ васъ не получалъ и нуждаюсь очень, особливо теперь. Любите меня. Поцѣлуйте Вареньку. Александра, не огорчайся, что я раненъ: легко я бы могъ быть и убитымъ; благодари и за то Бога. Ne m’écrivez rien de ce qui puisse me chagriner! Mes nerfs sont devenus faibles, je m’irrite à chaque instant. Ne vous alarmez pas sur ma position présente. Le maître de la maison m-r Müguel est le plus riche négociant de Riga. Sa fille est charmante, la mère bonne comme...
    10. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: bien que quand cette lettre vous parviendra, il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la chose et dans une auberge dont je n’ai jamais pu parvenir à le faire sortir malgré tous mes efforts, d’autant plus qu’il est toujours enfermé et ne laisse entrer qu’une fille qui le sert depuis plusieurs mois; il a renvoyé son domestique, persuadé qu’il est de connivence avec ceux qui le persécutent. Enfin, monsieur le comte, vous ne sauriez vous faire l’idée combien ce malheureux jeune homme est à plaindre. Je ne conçois pas quelle cause a pu le plonger dans cet état. Je suis bien faché qu’il aie choisi ce pays pour venir finir aussi tristement, car il ...