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    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    3. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    4. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    5. Батюшков — Тургеневу А. И., 30 июля 1818.
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    6. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    7. Батюшков — Карамзиной Е. А., сентябрь 1817.
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    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    Часть текста: 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 330—331 (1-й паг.). Е. Г. Пушкина къ В. А. Жуковскому. Dresde. Le 23 mars 1825. Monsieur! Avec quel sentiment de joie je prends la plume en main, pour vous annoncer l’heureuse nouvelle, que notre infortuné ami vient de se soumettre enfin à un traitement suivi! Votre coeur bon et sensible comprendra à merveille tout ce qu’éprouve le mien aujourd’hui, en vous transmettant la lettre ci-jointe. J’ai eu deux fois la triste douceur de voir le cher et malheureux Batuchkof: j’avais employé auprès de lui l’éloquence d’une amitié profondément sentie, et le tout en vain; son obstination à repousser les remèdes faisait mon désespoir. Lors de ma dernière visite, je renouvellai mes instances, il me dit: „Si vous voulez que je me fasse traiter, emmenez moi à Dresde, laissez moi loger sous le même toît que vous, et je vous promets de tout prendre de votre main, même du poison“. Ma réponse fut, que je ne refuserai pas de le loger chez moi, après qu’il aura pris des remèdes l’espace de trois semaines; je le menaçai même do ne plus revenir le voir à Sonnenstein. Il demeurait infléxible, et je le quittai la mort dans l’âme. Au bout de quinze jours j’en reçus une lettre, dans laquelle il me renouvellait ses prières. Je me hâtai de lui répondre, que tant qu’il s’obstinerait à me refuser ma demande de se soumettre aux avis de m-r Pinitz, je me croyais en droit...
    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la preuve était que j’avais ordre, vu l’état de sa faible santé, de songer aux moyens de le faire arriver à Pétersbourg en le confiant pendant ce voyage aux soins d’un homme aussi éclairé qu’humain (et cet homme lui était designé dans la personne du docteur Lang qui l’accompagne); enfin j’avais recommandé à m-r Mulhausen de flatter autant que possible sons amour-propre et de ne faire voir dans tout ce...
    3. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    Часть текста: donne du chagrin, je ne sais à quoi attribuer cela. Paul ne m’a pas répondu aux trois lettres que je lui ai écrites. Vous savez comme les bagatelles m’affligent, et cela n’en est pas une. Lise ne me donne point de ses nouvelles. Je viens d’apprendre par une lettre de mon beau frère, qu’il a reçu l’argent des campagnes; cela m’a fait du plaisir. M-r Olenin m’écrit souvent et plus souvent que vous, il m’aime beaucoup. Ne vous affligez pas, ma bonne amie, de nos affaires, le bon Dieu vous sauvera. Sa divine main est sur nous. Je vous écris peu, car je ne suis pas sûr du courrier. Barbe a tort de ne me point écrire. Je vous embrasse, faites des vœux pour mon congé, adieu. Constant. Batuchkof. Je m’ennuie joliment, je suis triste et rêveur. Et comment pourrais être autrement? Conservez votre santé, elle est précieuse. Celui qui nourrit les faibles oiseaux, laissera-t-il sans protection les enfans de notre sœur, l’exemple des vertus domestiques, exemple rare! Tâchons, mon amie, de leur faire tout ce qu’elle a fait pour nous. C’est dans ma maladie qu’elle a déployé son caractère. Je serais un ingrat si j’oubliais son amitié tendre et courageuse. Присмотри за садомъ, приготовь для меня гостепріимный уголъ. Я не праздновалъ моихъ именинъ 21-го мая. Это число для меня несчастливо. M-me Tcheglokof que je vois souvent a manqué de me tourner la tête, mais cela a passé et n’a rien de funeste. Адресъ: Сестрицѣ Александрѣ Николаевнѣ Батюшковой. Примечания XXIII. А. Н. БАТЮШКОВОЙ 3-го мая 1809 г. Або . Подлинникъ у П. Н. Батюшкова. — ( Стр. 31 ). Вмѣсто „И. Турчанинову“ слѣдовало ...
    4. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je suis mal servi, mes effets se perdent à chaque moment, mon linge est abîmé. Ecrivez à Platon, qu’il habille le petit qui est chez lui, je l’enverrai chercher d’ici, par des courriers qui vont à Pétersbourg, mais ne manquez pas de le prévenir le plutôt possible. Et payez lui le reste de ce que je lui dois. Ce petit me servira...
    5. Батюшков — Тургеневу А. И., 30 июля 1818.
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    Часть текста: Одесса // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 523—525. CCLXV. А. И. Тургеневу. —— 30-го іюля 1818 г. Одесса. Вчера получилъ я ваше письмо, почтеннѣйшій Александръ Ивановичъ, письмо печальное и пріятное. На канунѣ услышалъ я о потерѣ нашего Сѣверина и, признаюсь вамъ, содрогнулся. Потомъ не хотѣлъ вѣрить : письмо ваше подтвердило печальное извѣстіе . Сѣверинъ очень несчастливъ. Жалѣю о почтенномъ Стурдзѣ , и особливо о матери! Все это семейство ходитъ по тернамъ, и я не могу безъ горестнаго чувства вспомнить о Сѣверинѣ и объ его худомъ здоровьѣ . Желаю ему твердости душевной. О себѣ скажу вамъ, что я уже занесъ было одну ногу въ Крымъ, послѣ завтра хотѣлъ отправиться въ Козловъ: письмо ваше остановило меня. Итакъ, судьба моя рѣшена , благодаря вамъ! Я увѣренъ , что вы счастливѣе меня, сдѣлавъ доброе дѣло . Для васъ это праздникъ, подарокъ Провидѣнія . Я благодарю его не за Италію, но за дружбу вашу: быть вамъ обязаннымъ пріятно и сладостно. И это...
    6. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    Часть текста: въ 1817 году 1 ). Il n’est point de devoir plus agréable à remplir, que celui de signaler le mérite modeste aux yeux du digne dépositaire de la confiance de l’Empereur. Mr. de Batuchkof est entré au service en 1805. Il n’a fait que suivre sa vocation la plus chère en embrassant à cette époque la carrière de l’instruction publique; il justifia bientôt par ses talents la bienveillance particulière que lui témoigna mr. de Mouravief, curateur de l’université de Moscou, auprès duquel il remplit les fonctions de secrétaire. En 1807 la voix de la patrie lui fit prendre les armes. Il participa aux affaires de Guttstadt, de la Passarge et de Heilsberg, où il reçut une blessure grave à la jointure de la cuisse; une balle la traversa. Pour récompense il fut placé au régiment des chasseurs de la garde comme enseigne. Il fit postérieurement les campagnes de Finlande: il se trouva aux deux affaires d’Idensalmi et fit partie de l’expédition d’Aland. En 1809, il obtint, avec le rang de sous-lieutenant et l’uniforme, une démission que ses blessures réclamaient impérieusement. Vers la fin de 1812, il suivit de nouveau les drapeaux de l’armée et entra au régiment de Rylsk avec le rang de capitaine en second. D’abord aide de camp du lieutenant-général Bakhmétef, il remplit ensuite les mêmes...
    7. Батюшков — Карамзиной Е. А., сентябрь 1817.
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    Часть текста: Батюшков — Карамзиной Е. А., сентябрь 1817. Батюшков К. Н. Письмо Карамзиной Е. А., [сентябрь 1817 г. Петербург] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 470—471. CCXXVII. Е. А. Карамзиной. (Отъ имени неизвѣстнаго ). —— (Сентябрь 1817 года. Петербургъ). Милостивая государыня Катерина Андреевна! Не имѣя счастія быть извѣстнымъ ни вамъ, ни почтенному супругу вашему, но зная изъ опыта, что снисходительность есть свойство прекрасныхъ и великихъ душъ, смѣло прибѣгаю къ вамъ съ усерднѣйшею просьбою. Тронутый глубоко, восхищенный чтеніемъ Исторіи Государства Россійскаго , я написалъ нѣсколько стиховъ къ безсмертному оной творцу. Полагая, что самые посредственные стихи, прочитанные вами, покажутся ему прелестными, покорнѣйше прошу немеддленно прочитать ихъ. Вмѣсто предисловія можете сказать: La main ne peut atteindre au noble front des dieux Et depose à leurs pieds ses dons réligieux: Tel son du luth n’atteint point le faite de ta gloire, Mais brule un grain d’encens aux pieds de la victoire. Не подпишу своего имени, обреченнаго забвенію, но покорнѣйше прошу вѣрить чувствамъ глубокаго почитанія и совершенной преданности, съ которыми пребуду вамъ навсегда неизвѣстный . Когда на играхъ Олимпійскихъ и пр. Примечания CCXXVII. Е. А. КАРАМЗИНОЙ. ( Сентябрь 1817 г. Петербургъ ). Напечатано въ сборникѣ М. П. Погодина: Утро . М. 1866, стр. 186—187, и въ его же сочиненіи: Николай Михайловичъ Карамзинъ. М. 1866, т. II, стр. 209—210.