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    Cлово "JUSQU"


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    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    3. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    4. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    5. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    6. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    7. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: y avait à faire pour remplir les intentions bienfaisantes de Sa Majesté à son égard, nous nous sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la preuve était que j’avais ordre, vu l’état de sa faible santé, de songer aux moyens de le faire arriver à Pétersbourg en le confiant pendant ce voyage aux soins d’un homme aussi éclairé qu’humain (et cet ...
    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    Часть текста: 19 avril 1823. Monsieur le comte! Je m’empresse de vous informer de la réception de votre lettre en date du 4 avril, par laquelle vous me faites savoir les ordres de l’Empereur au sujet de M-r Batuchkof, et sans perdre un instant j’ai fait les dispositions nécessaires pour les exécuter. Son état n’a fait qu’empirer, et j’ai eu bien de la peine à le conserver jusqu’à présent. Il a fait plusieurs tentatives, mais qui heureusement ont été détournées par les mesures que j’ai prises. Il a voulu se jeter par la fenêtre, il a cherché à s’évader, il a demandé à differentes reprises que je lui fasse rendre son épée, que je lui donne des rasoirs pour se faire la barbe, mais voyant que tout cela ne réussissait pas, il a cherché à ravoir sa liberté en me rendant responsable des souffrances par les quelles il terminerait ses jours, puisque je ne voulais pas lui laisser la liberté de le faire de la manière la moins douloureuse, car sur cet article il est demeuré impérturbable, et je lui ai déclaré que tant qu’il persisterait dans ce projet, je devais absolument employer tous les moyens...
    3. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: 1809. Батюшков К. Н. Письмо Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809 г. Надендаль // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 30—32. XXII. А. Н. Батюшковой. —— 12-го апрѣля 1809 г. Мѣстечко Надендаль. J’ai reçu votre lettre du 12 février, ma chère Alexandrine, et m’empresse de vous faire réponse. Je crois que cette épître ne vous trouvera plus à Vologda, vous devez être à la campagne. Profitez du beau tems, il n’y a que le printems qui donne la santé. J’ai été ravi d’apprendre que vous vous êtes amusée l’hiver passé et que Barbe a beaucoup dansé. Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je suis mal servi, ...
    4. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    Часть текста: (qu’il a fait au docteur Hufeland) a declaré qu’il consentait de recevoir Batuchkof chez lui pour la somme de 800 à 1.200 thalers (pour traitement, logement et nourriture). D’après cela la soeur de Batuchkof l’a conduit à Drésde. Permettez moi de confier et le frère et la soeur à vos soins bienfaisants, donnez vous la peine de recommender mon malheureux ami au soins de monsieur Pinitz, et une fois qu’il sera placé, ne lui refusez pas votre protection. On est persuadé qu’il sera parfaitement bien à Sonnenstein, où l’on traite avec humanité et douceur les malades, où l’on possède tous les moyens necessaires pour la guérison de cette sorte de maladies: mais en recommandant mon malheureux ami particulièrement à vous, cher et respectable m-r Erdmann, je serai pour ma propre personne plus tranquille sur son compte. Veuillez donc bien lui donner votre protection; en même temps ne refusez pas votre assistance à sa pauvre soeur, qui a tout abandonné pour le suivre; cette personne, vraiment respectable par son devouement, est tout-à-fait étrangère à Dresde: veuillez bien lui donner de bons conseils quant au genre de vie, qu’elle pourra y mener, et soutenez son courage par vos consolantes attentions. Je vous fais hardiment toutes ces demandes, car je connais votre coeur et d’ailleurs je compte sur votre ancienne bienveillance pour moi. Veuillez bien m’honorer d’une réponse; je l’attendrai avec impatiance. Je suis avec le plus sincére respect et attachement, digne ami, votre devoué et très obéissant serviteur Joukoffsky. Mon adresse: въ С. -Петербургѣ Василью Андреевичу Жуковскому. Въ Аничковскомъ...
    5. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    Часть текста: réunirons tous sous notre toît hospitalier pour ne plus nous séparer. Comment se porte Lisabeth et Paul? Ecrivez moi je vous prie en détail. Tout m’intéresse ici, et tout ce qui vient de vous, mes chères soeurs, m’intéresse doublement. Je n’ose parler de nos affaires, je n’en sais rien. Mon père m’a écrit plusieurs lettres. Il prie mon frère Paul de lui faire parvenir la mienne. Tâchez, mes amies, de vous tranquilliser sur mon sort. Je bois ici à longs traits l’ennui avec l’ésperance toujours douce et trompeuse d’un avenir plus agréable. Nous revenons d’une expédition assez périlleuse, c’est à dire des iles d’Aland. Réprésentez vous une armée de 20 mille hommes sur la glace et en bivouaque. Mais tout passe et les périls ne sont bons qu’à être aussi oubliés. Le printemps s’approche. Plantez vos choux, ma chère Alexandrine, mais n’allez pas labourer mon parti. J’embrasse cent fois notre chère Babette — je la recommande au Tout-Puissant, notre seul et unique Protecteur. Soyez unies, mes chères amies, aimons nous jusqu’au tombeau et que le voeu de la meilleure des mères soit accompli! Je remercie, mes bonnes amies, pour l’argent que vous m’avez envoyé. Je vous prie de me faire venir pour le mois de mai 500 dont j’aurai bien besoin pour mon retour. La vie est bien dure et chère ici, le cheval m’a couté quelque fois 5 r. par jour. Jugez du reste. Écrivez moi, je vous prie. Mes compliments à mes tantes et à Arcadi Apolonovitch. Si je retourne pour le mois de mai, il se pourrait que le projet de mon voyage se...
    6. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    Часть текста: (18-го/24-го декабря 1821 г. Дрезденъ). Monsieur le comte! Avant que de soumettre à la justice de votre excellence ma très humble prière, je prendrai la liberté d’appeller votre attention sur les raisons qui me l’ont dictée, ainsi que sur ma conduite précédente. Une série d’indispositions bien graves pendant un séjour prolongé à Naples m’ont forcé à solliciter plusieurs fois auprès de mon chef monsieur le comte de Stackelberg la permission de me rendre aux eaux en Allemagne. Mais monsieur le comte de Stackelberg ne voulut jamais me l’accorder avant que d’avoir obtenu, me disait-il, un employé pour me remplacer dans mes fonctions de copiste. Cependant, le mauvais état de ma santé empirant de jour en jour, je fus obligé d’insinuer itérativement à mon chef, que ma position seule vis-à-vis de lui, dans l’état de souffrance où j’étais, me forçait à désirer ma démission du service. Le comte de Stackelberg me fit sentir alors qu’une demande pareille, vu les circonstances, serait considérée comme intempestive par le ministère impérial, et je fus obligé de me résigner à mon sort. A l’arrivée du baron de Hahn à Naples et d’un autre employé pour me remplacer, mon chef me fit la proposition d’accompagner le baron de Hahn dans son vogage à Rome, comme devant précéder toute la légation. Il me conseilla en même temps de m’ouvrir à monsieur d’Italinsky sur ce que je désirais devenir dans le cas que le départ de la mission fut encore retardée par des circonstances imprévues. Le jour même de mon arrivée à Rome monsieur d’Italinsky...
    7. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    Часть текста: je me porte assez bien, quoique blessé á la jambe avec une balle, qui m’a traversé les chairs sans entamer l’os. J’ai beaucoup souffert dans mon voyage par la Prusse, mais à présent, grâces au Tout-Puissant, qui a daigné me sauver ou garder la vie, je suis dans une maison la plus hospitalière qui puisse jamais exister. Je respire à la fin. Le médecin est excellent. On m’entoure de fleurs, on me berce comme un enfant. Ah, mes amies, ce que j’ai souffert dans une voie un peu précipitée de Heilsberg, où j’ai été blessé jusqu’à Riga, couché dans une misérable charrette. Mais tout a fini, et je loue l’Éternel de m’avoir conservé la vie pour vous, mes seules et douces amies. Depuis la lettre que Richter m’a remise je n’ai point eu de nouvelles de vous. Écrivez moi à Riga, je compte rester ici deux semaines, et puis venir chez vous, ayant déjà obtenu la permission d’aller à Pétersbourg. Отъ папеньки я не имѣлъ ни одного письма. Каковъ онъ? Здоровъ ли? Писать ли мнѣ къ нему объ ранѣ ? Постарайтесь, мои други, послать мнѣ денегъ. Кромѣ тѣхъ , что Alexandrine мнѣ прислала, я отъ васъ не получалъ и нуждаюсь очень, особливо теперь. Любите меня. Поцѣлуйте Вареньку. Александра, не огорчайся, что я раненъ: легко я бы могъ быть и убитымъ; благодари и за то Бога. Ne m’écrivez rien de ce qui puisse me chagriner! Mes nerfs sont devenus faibles, je m’irrite à chaque instant. Ne vous alarmez pas sur ma position...