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    Cлово "MOYEN"


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    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    3. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    4. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    5. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    6. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    Часть текста: à differentes reprises que je lui fasse rendre son épée, que je lui donne des rasoirs pour se faire la barbe, mais voyant que tout cela ne réussissait pas, il a cherché à ravoir sa liberté en me rendant responsable des souffrances par les quelles il terminerait ses jours, puisque je ne voulais pas lui laisser la liberté de le faire de la manière la moins douloureuse, car sur cet article il est demeuré impérturbable, et je lui ai déclaré que tant qu’il persisterait dans ce projet, je devais absolument employer tous les moyens qui étaient en mon pouvoir pour l’en empécher. En attendant, m-r Mulhausen n’a cessé de le voir, et il a toujours insisté auprès de lui pour qu’on le laisse entièrement libre, mais toujours dans la ferme résolution de se détruire; je lui ai proposé de le faire raser, mais il a refusé disant qu’il voulait qu’on lui donne des rasoirs, ainsi il est resté avec sa barbe. Je vous avoue, monsieur le comte, que n’ayant aucun moyen de le soulager, ni même de prévenir complétement un malheur, j’ai cherché autant que possible à gagner du temps par des voies de persuasion inutiles avec un homme dans son état et par une surveillance d’autant plus difficile, qu’il ne devait point s’en apercevoir, pour ne pas l’irriter d’avantage. Enfin, grâce à Dieu, jusqu’à présent je l’ai conservé! Ce qui vous prouve à quel point il est...
    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: tout ce que j’ai pu faire, son état n’a fait qu’empirer parcequ’il a persisté à tout faire en conséquence. Enfin aujourd’hui c’est au delà de tout ce qu’on peut dire, et je crains bien que quand cette lettre vous parviendra, il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la chose et dans une auberge dont je n’ai jamais pu parvenir à le faire sortir malgré tous mes efforts, d’autant plus qu’il est toujours enfermé et ne laisse entrer qu’une fille qui le sert depuis plusieurs mois; il a renvoyé son domestique, persuadé qu’il est de connivence avec ceux qui le persécutent. Enfin, monsieur le comte, vous ne sauriez vous faire l’idée combien ce malheureux jeune homme est à plaindre. Je ne...
    3. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la preuve était que j’avais ordre, vu l’état de sa faible santé, de songer aux moyens de le faire arriver à Pétersbourg en le confiant pendant ce voyage aux soins d’un homme aussi éclairé qu’humain (et cet homme lui était designé dans la personne du docteur Lang qui l’accompagne); enfin j’avais recommandé à m-r Mulhausen de flatter autant que possible sons amour-propre et de ne faire voir dans tout ce qu’il dirait qu’une...
    4. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    Часть текста: de le placer à Sonnenstein sous la garde du docteur Pinitz, auquel on a déjà écrit sur ce sujet, et qui dans sa réponse (qu’il a fait au docteur Hufeland) a declaré qu’il consentait de recevoir Batuchkof chez lui pour la somme de 800 à 1.200 thalers (pour traitement, logement et nourriture). D’après cela la soeur de Batuchkof l’a conduit à Drésde. Permettez moi de confier et le frère et la soeur à vos soins bienfaisants, donnez vous la peine de recommender mon malheureux ami au soins de monsieur Pinitz, et une fois qu’il sera placé, ne lui refusez pas votre protection. On est persuadé qu’il sera parfaitement bien à Sonnenstein, où l’on traite avec humanité et douceur les malades, où l’on possède tous les moyens necessaires pour la guérison de cette sorte de maladies: mais en recommandant mon malheureux ami particulièrement à vous, cher et respectable m-r Erdmann, je serai pour ma propre personne plus tranquille sur son compte. Veuillez donc bien lui donner votre protection; en même temps ne refusez pas votre assistance à sa pauvre soeur, qui a tout abandonné pour le...
    5. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je...
    6. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    Часть текста: mr. de Mouravief, curateur de l’université de Moscou, auprès duquel il remplit les fonctions de secrétaire. En 1807 la voix de la patrie lui fit prendre les armes. Il participa aux affaires de Guttstadt, de la Passarge et de Heilsberg, où il reçut une blessure grave à la jointure de la cuisse; une balle la traversa. Pour récompense il fut placé au régiment des chasseurs de la garde comme enseigne. Il fit postérieurement les campagnes de Finlande: il se trouva aux deux affaires d’Idensalmi et fit partie de l’expédition d’Aland. En 1809, il obtint, avec le rang de sous-lieutenant et l’uniforme, une démission que ses blessures réclamaient impérieusement. Vers la fin de 1812, il suivit de nouveau les drapeaux de l’armée et entra au régiment de Rylsk avec le rang de capitaine en second. D’abord aide de camp du lieutenant-général Bakhmétef, il remplit ensuite les mêmes fonctions près de mr. le général Raiewsky. Il s’est trouvé constamment sous ses ordres durant les campagnes de 1813 et 1814, aux batailles de Leipzig, de Brienne, de Troyes, aux combats de Villenoxe, d’Arcis, de la Fère-Champenoise, du Chateau-Reveillon, de Bondy et de Paris, s’y conduisant, d’après les expressions de son chef, avec un courage distingué. En 1816 il fut transféré au régiment d’Izmailovsky. Quelque fut son désir de poursuivre le service militaire, l’extrême affaiblissement de sa santé ne lui permit pas de songer à en affronter les difficultés; et sa délicatesse naturelle, peut être exagérée,...