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    1. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    3. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    4. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    5. Батюшков — Муравьевой Е. Ф., 17 декабря 1815.
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    6. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    7. Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826.
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    8. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    9. Ханыков — графу Нессельроду К. В., 26 июня (8 июля) 1824 г.
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    10. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    1. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    Часть текста: pas plus pour ça. J’espère cependant que le mois de mai nous réunirons tous sous notre toît hospitalier pour ne plus nous séparer. Comment se porte Lisabeth et Paul? Ecrivez moi je vous prie en détail. Tout m’intéresse ici, et tout ce qui vient de vous, mes chères soeurs, m’intéresse doublement. Je n’ose parler de nos affaires, je n’en sais rien. Mon père m’a écrit plusieurs lettres. Il prie mon frère Paul de lui faire parvenir la mienne. Tâchez, mes amies, de vous tranquilliser sur mon sort. Je bois ici à longs traits l’ennui avec l’ésperance toujours douce et trompeuse d’un avenir plus agréable. Nous revenons d’une expédition assez périlleuse, c’est à dire des iles d’Aland. Réprésentez vous une armée de 20 mille hommes sur la glace et en bivouaque. Mais tout passe et les périls ne sont bons qu’à être aussi oubliés. Le printemps s’approche. Plantez vos choux, ma chère Alexandrine, mais n’allez pas labourer mon parti. J’embrasse cent fois notre chère Babette — je la recommande au Tout-Puissant, notre seul et unique Protecteur. Soyez unies, mes chères amies, aimons nous jusqu’au tombeau et que le voeu de la meilleure des mères soit accompli! Je remercie, mes bonnes amies, pour l’argent que vous m’avez envoyé. Je vous prie de me faire venir pour le mois de mai 500 dont j’aurai bien besoin pour mon retour. La vie est bien dure et chère ici, le cheval m’a couté quelque fois 5 r. par jour. Jugez du reste. Écrivez moi, je vous prie. Mes compliments à mes tantes et à Arcadi Apolonovitch. Si je retourne pour le mois de mai, il se pourrait que le projet de mon voyage se réalise. En attendant...
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 331—332 (1-й паг.). Е. Г. Пушкина В. А. Жуковскому. Dresde. Le 30 juin 1828. Enfin, mon cher ami, je pars dans deux jours, pour revenir dans mes foyers. Le coeur me bat de joie! L’idée de revoir mon fils aprés une absence de quatre ans, est une idée bien consolante. Mais hélas, je le reverrai veuf et afligé. Puisse ma tendresse maternelle adoucir l’amertume de ses regrets! J’y emploierai tous mes efforts. J’ai quitté Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme à votre bienveillante amitié. Mademoiselle Batuchkof part avec moi; son frère nous suivra dans quinze jours On lui a dit je ne sais trop pourquoi, qu’il devait quitter Sonnenstein, et depuis ce moment...
    3. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: adressée par estafette, j’ai sur le champ pris les mésures nécessaires pour faire partir m-r Batuchkof, dont l’état devenait de jour en jour plus alarmant. Après être convenu avec m-r Mulhausen de tout ce qu’il y avait à faire pour remplir les intentions bienfaisantes de Sa Majesté à son égard, nous nous sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la preuve était que...
    4. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    Часть текста: 1886 . — С. 573—575. CCLXXXIX. Графу К. В. Нессельроду. —— (18-го/24-го декабря 1821 г. Дрезденъ). Monsieur le comte! Avant que de soumettre à la justice de votre excellence ma très humble prière, je prendrai la liberté d’appeller votre attention sur les raisons qui me l’ont dictée, ainsi que sur ma conduite précédente. Une série d’indispositions bien graves pendant un séjour prolongé à Naples m’ont forcé à solliciter plusieurs fois auprès de mon chef monsieur le comte de Stackelberg la permission de me rendre aux eaux en Allemagne. Mais monsieur le comte de Stackelberg ne voulut jamais me l’accorder avant que d’avoir obtenu, me disait-il, un employé pour me remplacer dans mes fonctions de copiste. Cependant, le mauvais état de ma santé empirant de jour en jour, je fus obligé d’insinuer itérativement à mon chef, que ma position seule vis-à-vis de lui, dans l’état de souffrance où j’étais, me forçait à désirer ma démission du service. Le comte de Stackelberg me fit sentir alors qu’une demande pareille, vu les circonstances, serait considérée comme intempestive par le ministère impérial, et je fus obligé de me résigner à mon sort. A l’arrivée du baron de Hahn à Naples et d’un autre employé pour me remplacer, mon chef me fit la proposition...
    5. Батюшков — Муравьевой Е. Ф., 17 декабря 1815.
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    Часть текста: могъ какъ-нибудь задержанъ быть дорогою. Благодарю васъ за обѣщаніе прислать деньги; я получилъ оброкъ изъ деревни и пока не прожилъ его здѣсь по пустому. Спѣшу въ Москву, гдѣ проживу нѣсколько недѣль , и оттуда въ деревню. Въ Петербургъ я не поѣду по многимъ причинамъ; главная вамъ извѣстна , но вѣрьте , что не ѣду для себя, а не для другихъ. Я даже поводу не подалъ негодовать на меня: это вы знаете совершенно, и совѣсть моя спокойна. Скажу болѣе , милая тетушка: вы меня любите и отъ того ошибаетесь на счетъ многаго, особливо послѣдняго параграфа письма вашего. Я и прежнему не вѣрилъ . Vous voulez que tout le monde aye pour Rodrigue les yeux de Chimène, то-есть, ваши глаза. Желалъ бы вѣрить , но не могу. Что же касается до маленькихъ неудовольствій нѣкоторыхъ людей, то я приписываю его чему-нибудь другому и могу сказать: безъ вины виноватъ! Горестно я провелъ этотъ годъ, но вынесъ бремя и скуки, и болѣзни , и всего, что вамъ извѣстно ....
    6. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    Часть текста: ami vient de se soumettre enfin à un traitement suivi! Votre coeur bon et sensible comprendra à merveille tout ce qu’éprouve le mien aujourd’hui, en vous transmettant la lettre ci-jointe. J’ai eu deux fois la triste douceur de voir le cher et malheureux Batuchkof: j’avais employé auprès de lui l’éloquence d’une amitié profondément sentie, et le tout en vain; son obstination à repousser les remèdes faisait mon désespoir. Lors de ma dernière visite, je renouvellai mes instances, il me dit: „Si vous voulez que je me fasse traiter, emmenez moi à Dresde, laissez moi loger sous le même toît que vous, et je vous promets de tout prendre de votre main, même du poison“. Ma réponse fut, que je ne refuserai pas de le loger chez moi, après qu’il aura pris des remèdes l’espace de trois semaines; je le menaçai même do ne plus revenir le voir à Sonnenstein. Il demeurait infléxible, et je le quittai la mort dans l’âme. Au bout de quinze jours j’en reçus une lettre, dans laquelle il me renouvellait ses prières. Je me hâtai de lui répondre, que tant qu’il s’obstinerait à me refuser ma demande de se soumettre aux avis de m-r Pinitz, je me croyais en droit d’être aussi infléxible que lui. Il m’ecrivit une réponse fulminante, me disant qu’il ne me reconnaissait plus que j’étais de moitié avec ses bourreaux, il se radoucit cependant vers la fin de sa triste missive, et la termina en me disant qu’il resterait toujours mon ami fidèle. Le même jour il consentit à prendre medecine, et en voici quinze qu’il continue un traitement journalier. Aussi ses nuits sont-elles devenues calmes. Espérons, monsieur, que la...
    7. Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826.
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    Часть текста: — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826. Батюшков К. Н. Письмо Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта [1826 г.?] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 585. IV. Е. Г. Пушкиной. —— Sonnestein, le 11 mars (1826?). Votre lettre a été dictée par mes bourreaux et par des charlatans: je n’y attache nul intérêt. J’attends ici la réponse de Sa Majesté l’Empereur, qui sera digne de lui. Tant pis pour tous, tant pis pour monsieur de Canicof, si je ne sortais d’içi qu’avec une santé ruinée. Un seul mot de monsieur de Canicof, et c’est toujours à lui que je me fais un devoir de recourir, peut prévenir bien des maux ou bien m’égarer. Içi les bains sont des tortures, la médecine du poison, les médecins des scélérats. C’est ce que je vous ai dit plusieurs fois, madame. Toutefois, ce n’est plus à vous à me donner des conseils. Je ne relève que de l’Empereur, m’étant adressé à lui, que de monsieur Canicoff, qui est notre ministre à Dresde; tout ce conventicule...
    8. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    Часть текста: Drèsde un jeune homme m-r Batuchkof; c’est un de mes meilleurs amis: il a eu le malheur d’avoir l’esprit aliené. D’après le conseil des docteurs de Pétérsbourg, on s’est decidé de le placer à Sonnenstein sous la garde du docteur Pinitz, auquel on a déjà écrit sur ce sujet, et qui dans sa réponse (qu’il a fait au docteur Hufeland) a declaré qu’il consentait de recevoir Batuchkof chez lui pour la somme de 800 à 1.200 thalers (pour traitement, logement et nourriture). D’après cela la soeur de Batuchkof l’a conduit à Drésde. Permettez moi de confier et le frère et la soeur à vos soins bienfaisants, donnez vous la peine de recommender mon malheureux ami au soins de monsieur Pinitz, et une fois qu’il sera placé, ne lui refusez pas votre protection. On est persuadé qu’il sera parfaitement bien à Sonnenstein, où l’on traite avec humanité et douceur...
    9. Ханыков — графу Нессельроду К. В., 26 июня (8 июля) 1824 г.
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    Часть текста: (8 июля) 1824 г. // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 329—330 (1-й паг.). В. В. Ханыковъ графу К. В. Нессельроду 26  juin   Drèsde.  Le ——— 1824. 8  juillet  Monsieur le comte! J’étais à Weimar lorsque je reçus la depêche que votre excellence m’a fait l’honneur de m’adresser en date du 31 mai concernant le conseiller de cour Batuchkof. J’ai appris en même temps qu’il venait d’arriver à Drèsde avec le docteur Baumann qui l’avait accompagné de Dorpat et qu’il était dans un état d’aliénation et d’irritation continuel. Le jour même de son arrivée il en a montré de violents accés, ayant cherché à se soustraire à ses surveillances et à s’évader. Néanmoins il fut conduit au Sonnenstein et remis entre les mains du docteur Pinitz, médecin de l’établissement, et qui a sous sa direction particulière le pensionnat des étrangers. Il y est depuis ce moment, et l’on m’assure...
    10. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    Часть текста: 400 r. Vous vous portez bien, j’en suis charmé. J’ai donné une supplique, et je crois avoir mon congé; cela étant, nous nous reverrons bientôt. Vos lettres sont si courtes, que cela me donne du chagrin, je ne sais à quoi attribuer cela. Paul ne m’a pas répondu aux trois lettres que je lui ai écrites. Vous savez comme les bagatelles m’affligent, et cela n’en est pas une. Lise ne me donne point de ses nouvelles. Je viens d’apprendre par une lettre de mon beau frère, qu’il a reçu l’argent des campagnes; cela m’a fait du plaisir. M-r Olenin m’écrit souvent et plus souvent que vous, il m’aime beaucoup. Ne vous affligez pas, ma bonne amie, de nos affaires, le bon Dieu vous sauvera. Sa divine main est sur nous. Je vous écris peu, car je ne suis pas sûr du courrier. Barbe a tort de ne me point écrire. Je vous embrasse, faites des vœux pour mon congé, adieu. Constant. Batuchkof. Je m’ennuie joliment, je suis triste et rêveur. Et comment pourrais être autrement? Conservez votre santé, elle est précieuse. Celui qui nourrit les faibles oiseaux, laissera-t-il sans protection les enfans de notre sœur, l’exemple des vertus domestiques, exemple rare!...