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    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    2. Италинский — графу Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г.
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    3. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    4. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    5. Италинский — графу Нессельроду К. В., 29 октября (1 ноября) 1821 г.
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    6. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    7. Ханыков — графу Нессельроду К. В., 26 июня (8 июля) 1824 г.
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    8. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    9. Батюшков — Гнедичу Н. И., 25 декабря 1808.
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    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la chose et dans une auberge dont je n’ai jamais pu parvenir à le faire sortir malgré tous mes efforts, d’autant plus qu’il est toujours enfermé et ne laisse entrer qu’une fille qui le sert depuis plusieurs mois; il a renvoyé son domestique, persuadé qu’il est de connivence avec ceux qui le persécutent. Enfin, monsieur le comte, vous ne sauriez vous faire l’idée combien ce malheureux jeune homme est à plaindre. Je ne conçois pas quelle cause a pu le plonger dans cet état. Je suis bien faché qu’il aie choisi ce pays pour venir finir aussi tristement, car il m’a fait un mal inoui; je vous assure, monsieur le comte, que je ne puis y penser de sang froid; comment voir mourir aussi tristement un jeune homme à la fleur de l’âge et si interessant sous tous les rapports sans pouvoir l’en empêcher ni lui donner aucun secours? C’est un vrai malheur qu’on l’aie laissé venir ici et qu’on ne l’aie pas gardé à Pétérsbourg, où on aurait pu le traiter. Maintenant je désire me tromper, mais je crois que tout est trop tard. Oserais-je vous prier, monsieur le...
    2. Италинский — графу Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г.
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    Часть текста: К. В., 14 (26) апреля 1821 г. // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 318—319 (1-й паг.). А. Я. Италинскій графу К. В. Нессельроду. 14 Rome. Le — avril 1821. 26 Monsieur le comte! C’est avec une bien vive affliction que je dois informer votre excellence, que la santé de monsieur le conseiller de cour de Batuchkof n’a point gagné depuis son séjour à Rome. Les medecins disent qu’il lui faut absolument respirer l’air du midi de la France. Cet employé, aussi recommandable par le zèle avec lequel il a servi pendant deux années à Naples, malgré toutes ses souffrances physiques, suites des dangereuses blessures qu’il a remportées dans les glorieuses campagnes de la délivrance européenne, que par son beau talent pour la poésie, qui fait de lui un ornement de sa patrie, cet employé, dis-je, n’a presque pas de fortune. Ces considérations, autant que la circonstance qui fait qu’il n’a point encore été assez heureux pour obtenir quelque témoignage de la satisfaction souveraine depuis qu’il sert dans la diplomatie, m’engagent à supplier votre excellence de vouloir bien obtenir, pour monsieur de Batuchkof, la munificence de Sa Majesté l’Empereur, un congé illimité, afin de soigner sa santé, avec une augmentation...
    3. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: adoucir l’amertume de ses regrets! J’y emploierai tous mes efforts. J’ai quitté Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme à votre bienveillante amitié. Mademoiselle Batuchkof part avec moi; son frère nous suivra dans quinze jours On lui a dit je ne sais trop pourquoi, qu’il devait quitter Sonnenstein, et depuis ce moment là il ne quitte plus sa cellule, ne parle avec personne, reste dans une innaction parfaite et attend avec impatience le moment de se mettre en route. Que Dieu veille sur lui! M-r Barclay a rendu à m-lle Batuchkof les services d’un frère, il est entré dans les moindres détails de son voyage avec...
    4. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    Часть текста: — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820. Батюшков К. Н. Письмо Италинскому А. Я., [2 (14) декабря 1820 г. Рим] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 565—566. CCLXXXV. А. Я. Италинскому. —— (2-го/14-го декабря 1820 г. Римъ). Monsieur l’envoyé! Son excellence m-r le comte de Stakelberg auprès duquel j’ai eu l’honneur de servir, étant lui-même sur le point de quitter Naples, m’a donné l’ordre de me rendre à Rome. L’air volcanique de Naples ne me convenant pas, j’avais depuis bien longtems désiré un congé illimité, ou d’être attaché à une autre mission, et en ai fait la demande à mon chef. Aujourd’hui que je me trouve à Rome, je serais au comble de mes vœux, si votre excellence daignez agréer ma très humble et très respéctueuse prière, celle, monsieur l’envoyé, de m’accorder la faveur de continuer le service impérial sous vos auspices et de vouloir bien demander pour moi au ministère la grâce d’être attaché à la mission de votre excellence. Je suis avec réspect, monsieur l’envoyé, de votre excellence le très humble et très obeissant serviteur. Batuschkoff. Rome. Ce 2 / 14 decembre 1820....
    5. Италинский — графу Нессельроду К. В., 29 октября (1 ноября) 1821 г.
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    Часть текста: promise, de l’usage des eaux et d’un changement d’air. Les souffrances physiques aux quelles il est en proie paraissent avoir été accrues par le scrupule de rester au service et de jouir de tous les avantages qu’il accorde, tandis que son état de santé recule de plus en plus l’instant, où il avait espéré pouvoir entrer en activité. Toutes mes représentations, tout ce que l’estime et l’interêt pouvaient m’inspirer de propre à calmer des inquiétudes dictées par une belle âme, mais toujours gratuites, parceque ses souffrances sont les suites de blessures reçues et de fatigues souffertes sur le champ d’honneur, rien n’avait pu porter le calme dans l’esprit de cet infortuné jeune homme. Riche de connaissances, doué d’un très haut talent, honoré des bienfaits de son Maître, entouré de l’estime et de l’amitié de tous ceux qui l’ont connu au milieu des rangs des défenseurs de la patrie et dans la solitude du cabinet, enrichissant la littérature nationale de belles productions, cependant il ne se croit plus digne de l’honneur de servir Sa Majesté l’Empereur. Accablé de maux et ne pouvant donner des soins à ses souffrances, qu’autant que notre Auguste Maître a daigné lui accorder ses généreux bienfaits, monsieur de Batuchkof m’a conjuré à diverses reprises de solliciter son congé définitif, sans vouloir considérer qu’un sémestre illimité ne lui impose aucune obligation de service et que des...
    6. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    Часть текста: à Dieu je me porte assez bien, quoique blessé á la jambe avec une balle, qui m’a traversé les chairs sans entamer l’os. J’ai beaucoup souffert dans mon voyage par la Prusse, mais à présent, grâces au Tout-Puissant, qui a daigné me sauver ou garder la vie, je suis dans une maison la plus hospitalière qui puisse jamais exister. Je respire à la fin. Le médecin est excellent. On m’entoure de fleurs, on me berce comme un enfant. Ah, mes amies, ce que j’ai souffert dans une voie un peu précipitée de Heilsberg, où j’ai été blessé jusqu’à Riga, couché dans une misérable charrette. Mais tout a fini, et je loue l’Éternel de m’avoir conservé la vie pour vous, mes seules et douces amies. Depuis la lettre que Richter m’a remise je n’ai point eu de nouvelles de vous. Écrivez moi à Riga, je compte rester ici deux semaines, et puis venir chez vous, ayant déjà obtenu la permission d’aller à Pétersbourg. Отъ папеньки я не имѣлъ ни одного письма. Каковъ онъ? Здоровъ ли? Писать ли мнѣ къ нему объ ранѣ ? Постарайтесь, мои други, послать мнѣ денегъ. Кромѣ тѣхъ , что Alexandrine мнѣ прислала, я отъ васъ не получалъ и нуждаюсь очень, особливо теперь. Любите меня. Поцѣлуйте Вареньку. Александра, не огорчайся, что я раненъ: легко я бы могъ быть и убитымъ; благодари и за то Бога. Ne m’écrivez rien de ce qui puisse me chagriner! Mes nerfs sont devenus faibles, je m’irrite à chaque instant. Ne vous alarmez pas sur ma position présente. Le maître de la maison m-r Müguel est le plus riche négociant de Riga. Sa fille est charmante, la mère bonne comme un ange, tout cela m’entoure, l’on me fait de la...
    7. Ханыков — графу Нессельроду К. В., 26 июня (8 июля) 1824 г.
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    Часть текста: à Weimar lorsque je reçus la depêche que votre excellence m’a fait l’honneur de m’adresser en date du 31 mai concernant le conseiller de cour Batuchkof. J’ai appris en même temps qu’il venait d’arriver à Drèsde avec le docteur Baumann qui l’avait accompagné de Dorpat et qu’il était dans un état d’aliénation et d’irritation continuel. Le jour même de son arrivée il en a montré de violents accés, ayant cherché à se soustraire à ses surveillances et à s’évader. Néanmoins il fut conduit au Sonnenstein et remis entre les mains du docteur Pinitz, médecin de l’établissement, et qui a sous sa direction particulière le pensionnat des étrangers. Il y est depuis ce moment, et l’on m’assure qu’il commence à paraître un peu plus calme; mais le médecin ne permet à personne des ses connaissances de le voir, ayant soin de lui faire éviter tout ce qui pourrait lui causer des émotions ou ramener ses idées sur des objets qui l’agitent. A mon arrivée ici j’y ai...
    8. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    Часть текста: tous sous notre toît hospitalier pour ne plus nous séparer. Comment se porte Lisabeth et Paul? Ecrivez moi je vous prie en détail. Tout m’intéresse ici, et tout ce qui vient de vous, mes chères soeurs, m’intéresse doublement. Je n’ose parler de nos affaires, je n’en sais rien. Mon père m’a écrit plusieurs lettres. Il prie mon frère Paul de lui faire parvenir la mienne. Tâchez, mes amies, de vous tranquilliser sur mon sort. Je bois ici à longs traits l’ennui avec l’ésperance toujours douce et trompeuse d’un avenir plus agréable. Nous revenons d’une expédition assez périlleuse, c’est à dire des iles d’Aland. Réprésentez vous une armée de 20 mille hommes sur la glace et en bivouaque. Mais tout passe et les périls ne sont bons qu’à être aussi oubliés. Le printemps s’approche. Plantez vos choux, ma chère Alexandrine, mais n’allez pas labourer mon parti. J’embrasse cent fois notre chère Babette — je la...
    9. Батюшков — Гнедичу Н. И., 25 декабря 1808.
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    Часть текста: Н. И., 25 декабря [1808 г.] Ваза // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 24—25. XVIII. Н. И. Гнѣдичу . —— 25-го декабря (1808 г.). Ваза. Я къ тебѣ пишу три слова. Курьеръ ѣдетъ , а о его отправленіи сію минуту узналъ. Пиши ко мнѣ , мой другъ, о сестрицахъ; я ни одной строки не имѣю . Здоровы ли онѣ ? Право, сердце кровью заливается отъ скуки. Мы живемъ въ 13-ти верстахъ отъ города Вазы, а Ваза есть городъ, вымазанный красной краской... и болѣе ничего. Пришли, мой другъ, табаку не замедля, поболѣе , и мой чубукъ янтарный, да другой купи хорошій. Пришли книгъ Бога ради, какихъ-нибудь русскихъ стиховъ. Купи еще мнѣ чаю фунта два и книгу: «Ossian tradotto dall’abate Cesaroti». Я объ ней ночь и день думаю. Къ тебѣ съ симъ курьеромъ обстоятельнаго ничего писать не могу, ибо принужденъ писать на лоскуткѣ . Пиши подлиннѣе , подлиннѣе . Ѣздишь ли ты къ Оленину? Пару перчатокъ теплыхъ не забудь. Прощай, мой другъ, свиданіе наше будетъ За синимъ океаномъ Вдали, въ мерцаніи багряномъ. Конст. Бат. Посылки отдай въ домѣ Ланского, гофъ-маршала, на имя Турчанинова, или лучше, въ домъ графини Строгановой. «Въ бригадѣ графа Строганова. Въ Вазу». Графиня съ удовольствіемъ беретъ на себя пересылать письма офицерамъ. Здорово ли у васъ? Какъ ты поживаешь? (Адресъ: Е. В. Н. И.  Гнѣдичу , возлѣ Московской съѣзжей , въ большомъ каменномъ домѣ , или отдать въ департаментъ графа Завадовскаго, у Краснаго моста). Примечания XVIII. Н. И. ...