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    1. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    2. Вечер у Кантемира
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    3. Италинский — графу Нессельроду К. В., 29 октября (1 ноября) 1821 г.
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    4. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    5. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    6. Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
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    Часть текста: connaissez dejà personnellement. Il a conduit jusqu’à Drèsde un jeune homme m-r Batuchkof; c’est un de mes meilleurs amis: il a eu le malheur d’avoir l’esprit aliené. D’après le conseil des docteurs de Pétérsbourg, on s’est decidé de le placer à Sonnenstein sous la garde du docteur Pinitz, auquel on a déjà écrit sur ce sujet, et qui dans sa réponse (qu’il a fait au docteur Hufeland) a declaré qu’il consentait de recevoir Batuchkof chez lui pour la somme de 800 à 1.200 thalers (pour traitement, logement et nourriture). D’après cela la soeur de Batuchkof l’a conduit à Drésde. Permettez moi de confier et le frère et la soeur à vos soins bienfaisants, donnez vous la peine de recommender mon malheureux ami au soins de monsieur Pinitz, et une fois qu’il sera placé, ne lui refusez pas votre protection. On est persuadé qu’il sera parfaitement bien à Sonnenstein, où l’on traite ...
    2. Вечер у Кантемира
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    Часть текста: окруженный любимыми книгами, он часто восклицал, перечитывая Плутарха, Горация и Вергилия: «Счастлив, кто, довольствуясь малым, свободен, чужд зависти и предрассудков, имеет совесть чистую и провождает время с вами, наставники человечества, мудрецы всех веков и народов: — ...... с вами, Греки и Латины ... Исследуя всех вещей действа и причины» 2 . Ум его имел свойства, редко соединяемые: основательность, точность и воображение. Часто, углубленный в исчисления алгебраические, Кантемир искал истины и — подобно мудрецу Сиракуз 3 — забывал мир, людей и общество, беспрестанно изменяющееся. Он занимался науками не для того, чтобы щеголять знаниями в суетном кругу ученых женщин или академиков: нет! он любил науки для наук, поэзию для поэзии, — редкое качество, истинный признак великого ума и прекрасной, сильной души! В Париже, где самолюбие знатного человека может собирать беспрестанно похвалы и приветствия за малейший успех в словесности, где несколько небрежных стихов, иностранцем написанных, дают право гражданства в республике словесности, Кантемир ... писал русские стихи! И в какое время? Когда язык наш едва становился способным выражать мысли просвещенного человека. Бросьте на остров необитаемый математика и стихотворца, говорил Даламбер 4 : первый будет проводить линии и составлять углы, не заботясь, что никто не воспользуется его наблюдениями; вторый перестанет сочинять стихи, ибо некому хвалить их; следственно, поэзия и поэт, заключает рассудительный философ, питаются суетностию. Париж был сей необитаемый остров для Кантемира. Кто понимал его? Кто восхищался его русскими стихами? — В самой России, где общество, науки и словесность были еще в пеленах, он, нет сомнения, находил мало ценителей своего таланта. Душею и умом выше времени и обстоятельств,...
    3. Италинский — графу Нессельроду К. В., 29 октября (1 ноября) 1821 г.
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    Часть текста: 319—320 (1-й паг.). А. Я. Италинскій графу К. В. Нессельроду. 29  octobre   Rome.  Le ———— 1821. 11  novembe Monsieur le comte! Monsieur le conseiller de cour Batuchkof a profité depuis plusieurs mois avec la plus profonde reconnaissance du sémestre illimité, que Sa Majesté l’Empereur a daigné lui accorder, pour se rendre aux bains de Töplitz afin d’y soigner une santé délabrée. Je vois par des lettres consécutives que cet employé m’a écrites, qu’il n’a pas éprouvé l’amélioration de santé, qu’il s’était promise, de l’usage des eaux et d’un changement d’air. Les souffrances physiques aux quelles il est en proie paraissent avoir été accrues par le scrupule de rester au service et de jouir de tous les avantages qu’il accorde, tandis que son état de santé recule de plus en plus l’instant, où il avait espéré pouvoir entrer en activité. Toutes mes représentations, tout ce que l’estime et l’interêt pouvaient m’inspirer de propre à calmer des inquiétudes dictées par une belle âme, mais toujours gratuites, parceque ses souffrances sont les suites de blessures reçues et de fatigues souffertes sur le champ d’honneur, rien n’avait pu porter le calme dans l’esprit de cet infortuné jeune homme. Riche de connaissances, doué d’un très haut talent, honoré des bienfaits de son Maître, entouré de l’estime et de l’amitié de tous ceux qui l’ont connu au milieu des rangs...
    4. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: delà de tout ce qu’on peut dire, et je crains bien que quand cette lettre vous parviendra, il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la chose et dans une auberge dont je n’ai jamais pu parvenir à le faire sortir malgré tous mes efforts, d’autant plus qu’il est toujours enfermé et ne laisse entrer qu’une fille qui le sert depuis plusieurs mois; il a renvoyé son domestique, persuadé qu’il est de connivence avec ceux qui le persécutent. Enfin, monsieur le comte, vous ne sauriez vous faire l’idée combien ce malheureux jeune homme est à plaindre. Je ne conçois pas quelle cause a pu le plonger dans cet état. Je suis bien faché qu’il aie choisi ce pays pour venir finir aussi tristement, car il m’a fait un mal inoui; je vous assure, monsieur le comte, que je ne puis y penser de sang froid; comment voir mourir aussi tristement un jeune homme à la fleur de l’âge et si interessant sous tous les rapports sans pouvoir l’en empêcher ni lui donner aucun secours? C’est un vrai malheur qu’on l’aie laissé venir ici et qu’on ne l’aie pas gardé à Pétérsbourg, où on aurait pu le traiter. Maintenant je désire me...
    5. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: J’ai reçu votre lettre du 12 février, ma chère Alexandrine, et m’empresse de vous faire réponse. Je crois que cette épître ne vous trouvera plus à Vologda, vous devez être à la campagne. Profitez du beau tems, il n’y a que le printems qui donne la santé. J’ai été ravi d’apprendre que vous vous êtes amusée l’hiver passé et que Barbe a beaucoup dansé. Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je suis mal servi, mes effets se perdent à chaque moment, mon linge est abîmé. Ecrivez à Platon, qu’il habille le petit qui est chez lui, je l’enverrai chercher d’ici, par des courriers qui vont à Pétersbourg, mais ne manquez pas de le prévenir le plutôt possible. Et payez lui le reste de ce que je lui dois. Ce petit me servira beaucoup mieux. Je ne veux pas de nos grands domestiques. Un soldat soigne mes chevaux. Et ce qui vaut...
    6. Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826.
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    Часть текста: Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826. Батюшков К. Н. Письмо Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта [1826 г.?] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 585. IV. Е. Г. Пушкиной. —— Sonnestein, le 11 mars (1826?). Votre lettre a été dictée par mes bourreaux et par des charlatans: je n’y attache nul intérêt. J’attends ici la réponse de Sa Majesté l’Empereur, qui sera digne de lui. Tant pis pour tous, tant pis pour monsieur de Canicof, si je ne sortais d’içi qu’avec une santé ruinée. Un seul mot de monsieur de Canicof, et c’est toujours à lui que je me fais un devoir de recourir, peut prévenir bien des maux ou bien m’égarer. Içi les bains sont des tortures, la médecine du poison, les médecins des scélérats. C’est ce que je vous ai dit plusieurs fois, madame. Toutefois, ce n’est plus à vous à me donner des conseils. Je ne relève que de l’Empereur, m’étant adressé à lui, que de monsieur Canicoff, qui est notre ministre à Dresde; tout ce conventicule infâme n’est d’aucune autorité pour moi. Votre fille sera ma femme, et je serai toujours votre ami fidèle, votre parent et votre serviteur très dévoué Batuchkof. Примечания IV. Е. Г. ПУШКИНОЙ. 11-го марта (1826 г. ?). Sonnenstein .