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    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    3. Италинский — графу Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г.
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    4. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    5. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    6. Нечто о морали, основанной на философии и религии
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    7. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    8. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    9. Батюшков — сестрам, 8 декабря 1808.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme à votre bienveillante amitié. Mademoiselle Batuchkof part avec moi; son frère nous suivra dans quinze jours On lui a dit je ne sais trop pourquoi, qu’il devait quitter Sonnenstein,...
    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: Vous êtes sans doute déjà informé du malheureux état de M-r Batuchkof. Depuis le mois d’août qu’il est arrivé ici, malgré les soucis de m-r Mulhausen, malgré tout ce que j’ai pu faire, son état n’a fait qu’empirer parcequ’il a persisté à tout faire en conséquence. Enfin aujourd’hui c’est au delà de tout ce qu’on peut dire, et je crains bien que quand cette lettre vous parviendra, il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la chose et dans une auberge dont je n’ai jamais pu parvenir à le faire sortir malgré tous mes efforts, d’autant plus qu’il est toujours enfermé et ne laisse entrer qu’une fille qui le sert depuis plusieurs mois; il a renvoyé son domestique, persuadé qu’il est de connivence avec ceux qui le persécutent. Enfin, monsieur le comte, vous ne sauriez vous faire l’idée combien ce malheureux jeune homme est à plaindre. Je ne conçois pas quelle cause a pu le plonger dans cet état. Je suis bien faché qu’il aie...
    3. Италинский — графу Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г.
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    Часть текста: Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г. // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 318—319 (1-й паг.). А. Я. Италинскій графу К. В. Нессельроду. 14 Rome. Le — avril 1821. 26 Monsieur le comte! C’est avec une bien vive affliction que je dois informer votre excellence, que la santé de monsieur le conseiller de cour de Batuchkof n’a point gagné depuis son séjour à Rome. Les medecins disent qu’il lui faut absolument respirer l’air du midi de la France. Cet employé, aussi recommandable par le zèle avec lequel il a servi pendant deux années à Naples, malgré toutes ses souffrances physiques, suites des dangereuses blessures qu’il a remportées dans les glorieuses campagnes de la délivrance européenne, que par son beau talent pour la poésie, qui fait de lui un ornement de sa patrie, cet employé, dis-je, n’a presque pas de fortune. Ces...
    4. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    Часть текста: 28 марта 1809. Батюшков К. Н. Письмо сестрам, [28 марта 1809 г. Надендаль] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 27—28. XX. Сестрамъ . —— (28-го  марта  1809 г.  Надендаль). Ce  mercredi  de  la  semaine  Sainte. Mes bonnes, mes chères amies! J’ai reçu vos lettres toutes à la fois, avec l’argent que vous m’avez envoyé. C’était vraiment un jour de joie pour moi. Je suis plus tranquille que je ne le fus un mois avant. Il est vrai aussi, que depuis notre séparation je ne reçus aucune nouvelle de vous. Ah, mes chères amies, quand vous reverrai-je, le temps s’écoule comme un torrent, et nous n’avançons pas plus pour ça. J’espère cependant que le mois de mai nous réunirons tous sous notre toît hospitalier pour ne plus nous séparer. Comment se porte Lisabeth et Paul? Ecrivez moi je vous prie en détail. Tout m’intéresse ici, et tout ce qui vient de vous, mes chères soeurs, m’intéresse doublement. Je n’ose parler de nos affaires, je n’en sais rien. Mon père m’a écrit plusieurs lettres. Il prie mon frère Paul de lui faire parvenir la mienne. Tâchez, mes amies, de vous tranquilliser sur mon sort. Je bois ici à longs traits l’ennui avec l’ésperance toujours douce et trompeuse d’un avenir plus agréable. Nous revenons d’une expédition assez périlleuse, c’est...
    5. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    Часть текста: amitié profondément sentie, et le tout en vain; son obstination à repousser les remèdes faisait mon désespoir. Lors de ma dernière visite, je renouvellai mes instances, il me dit: „Si vous voulez que je me fasse traiter, emmenez moi à Dresde, laissez moi loger sous le même toît que vous, et je vous promets de tout prendre de votre main, même du poison“. Ma réponse fut, que je ne refuserai pas de le loger chez moi, après qu’il aura pris des remèdes l’espace de trois semaines; je le menaçai même do ne plus revenir le voir à Sonnenstein. Il demeurait infléxible, et je le quittai la mort dans l’âme. Au bout de quinze jours j’en reçus une lettre, dans laquelle il me renouvellait ses prières. Je me hâtai de lui répondre, que tant qu’il s’obstinerait à me refuser ma demande de se soumettre aux avis de m-r Pinitz, je me croyais en droit d’être aussi infléxible que lui. Il m’ecrivit une réponse fulminante, me disant qu’il ne me reconnaissait plus que...
    6. Нечто о морали, основанной на философии и религии
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    Часть текста: существование; когда, разодрав завесу сомнений, он открывает новое поприще, становится на новый рубеж, озирает с него протекшее и будущее, сравнивает одно с другим и решается протекать остальное поприще жизни с светильником веры или мудрости, оставляя за собою предрассудки легкомыслия, суетные надежды и толпу блестящих призраков юности. Скоро и невозвратно исчезает юность, это время, в которое человек, по счастливому выражению Кантемира, еще новый житель мира сего 1 , с любопытством обращает взоры на природу, на общество и требует одних сильных ощущений; он с жаждою пьет тогда в источнике жизни, и ничто не может утолить сей жажды: нет границы наслаждениям, нет меры требованиям души, новой, исполненной силы и не ослабленной ни опытностию, ни трудами жизни. Тогда все делается страстию, и самое чтение. Счастлив тот, кто найдет наставника опытного в оное опасное время, наставника, коего попечительная рука отклонит от порочного и суетного; счастлив тот еще более, кого сердце спасет от заблуждений рассудка: ибо в юности сердце есть лучшая порука за рассудок. Одна...
    7. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la preuve était que j’avais ordre, vu l’état de sa faible santé, de songer aux moyens de le faire arriver à Pétersbourg en le confiant pendant ce voyage aux soins d’un homme aussi éclairé qu’humain (et cet homme lui était designé dans la personne du docteur Lang qui l’accompagne); enfin j’avais recommandé à m-r Mulhausen de flatter autant que possible sons amour-propre et de ne faire voir dans tout ce qu’il dirait qu’une preuve insigne et peu commune de l’interêt de Sa Majesté. Malgré toutes ces précautions nous avons trouvé dans...
    8. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    Часть текста: et j’ai eu bien de la peine à le conserver jusqu’à présent. Il a fait plusieurs tentatives, mais qui heureusement ont été détournées par les mesures que j’ai prises. Il a voulu se jeter par la fenêtre, il a cherché à s’évader, il a demandé à differentes reprises que je lui fasse rendre son épée, que je lui donne des rasoirs pour se faire la barbe, mais voyant que tout cela ne réussissait pas, il a cherché à ravoir sa liberté en me rendant responsable des souffrances par les quelles il terminerait ses jours, puisque je ne voulais pas lui laisser la liberté de le faire de la manière la moins douloureuse, car sur cet article il est demeuré impérturbable, et je lui ai déclaré que tant qu’il persisterait dans ce projet, je devais absolument employer tous les moyens qui étaient en mon pouvoir pour l’en empécher. En attendant, m-r Mulhausen n’a cessé de le voir, et il a toujours insisté auprès de lui pour qu’on le laisse entièrement libre, mais toujours dans la ferme résolution de se détruire; je lui ai proposé de le faire raser, mais il a refusé disant...
    9. Батюшков — сестрам, 8 декабря 1808.
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    Часть текста: Батюшков — сестрам, 8 декабря 1808. Батюшков К. Н. Письмо сестрам, 8 декабря 1808. Гамлекарлеби // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 22—23. XVI. Сестрамъ . —— 8-го декабря 1808. Городъ Гамлекарлеби, на маршѣ къ Вазѣ .                                     Dans quelles inquietudes mortelles je suis, mes chères amies, point de nouvelles de vous, le tems s’écoule avec rapidité dans ce pays infernal. Et les chagrins viennent à tire-d’aile. Voyagez un peu sur la carte et vous verrez que votre pauvre frère a fait près de trois milles verstes. J’ai été à Ouleaborg et de là nous allons à Vasa. Vous savez aussi bien que moi, que l’armistice dure. J’espère, mes amies, vous revoir dans deux mois, pour ne vous quitter plus. Поручаю Богу васъ, друзья мои, и надѣюсь , что Онъ не оставитъ васъ и бѣдную Вареньку. Нѣтъ дня, чтобъ я васъ не вспомнилъ. Объ одномъ прошу васъ, не думайте — вопреки усерднымъ истолкователямъ — что не отъ меня зависитъ быть не съ вами. Деньги мнѣ не очень нужны, но если можете, то пришлите 400 р. къ Гнѣдичу , а онъ постарается мнѣ переслать чрезъ гофмаршала Ланского. Я ничего не знаю о дѣлахъ моихъ; сердце заливается кровью, когда объ нихъ думаю, и прошу Павла Алексѣевича увѣдомить меня обстоятельно; ему поручаю васъ, а на прочихъ право надѣяться нечего въ Петербургѣ . Я еще откушалъ отъ прежнихъ горестей и огорченія; не знаю, какъ достаетъ на все терпѣнія , а особливо на глупости другихъ. Цѣлую васъ всѣхъ сто разъ; писать болѣе не могу и нечего. Лизанькиныхъ дѣтей цѣлую обоихъ. Бога ради, Александра Николаевна, не оставь Филиппа. Посылаю вамъ пару шведскихъ перчатокъ, купленныхъ сто верстъ отъ Торнео, въ Улеаборгѣ . Если вы забыли географію, то скажу вамъ, что здѣсь ртуть термометра замерзаетъ; я на силу дышу. Поручаю васъ Богу. Онъ — одна наша надежда. Константинъ. Адресъ: Любезнымъ моимъ сестрицамъ. Примечания XVI. СЕСТРАМЪ . 8-го декабря 1808 г. Городъ Гамлекарлеби , на маршѣ къ Вазѣ . Подлинникъ у П. Н. Батюшкова. — ( Стр. 23 ). Гофмаршалъ Ланской — Степанъ Сергѣевичъ , ум. въ 1844 г. Вѣроятно , родственники его Алексѣй и Михаилъ Павловичи Ланскіе, были сослуживцами Батюшкова по егерскому полку.