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    1. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    2. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    3. Батюшков — сестрам, 8 декабря 1808.
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    4. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    1. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: Т. 3. — 1886 . — С. 30—32. XXII. А. Н. Батюшковой. —— 12-го апрѣля 1809 г. Мѣстечко Надендаль. J’ai reçu votre lettre du 12 février, ma chère Alexandrine, et m’empresse de vous faire réponse. Je crois que cette épître ne vous trouvera plus à Vologda, vous devez être à la campagne. Profitez du beau tems, il n’y a que le printems qui donne la santé. J’ai été ravi d’apprendre que vous vous êtes amusée l’hiver passé et que Barbe a beaucoup dansé. Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je suis mal servi, mes effets se perdent à chaque moment, mon linge est abîmé. Ecrivez à Platon, qu’il habille le petit qui est chez lui, je l’enverrai chercher d’ici, par des courriers qui vont à Pétersbourg, mais ne manquez pas de le prévenir le plutôt possible. Et payez lui le reste de ce que je lui dois. Ce petit me servira beaucoup mieux. Je ne veux pas de nos grands domestiques. Un soldat...
    2. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    Часть текста: — С. 32—33. XXIII. А. Н. Батюшковой. —— 3 Mai 1809. Abo. Je viens de recevoir vos deux lettres à la fois et les 400 r. Vous vous portez bien, j’en suis charmé. J’ai donné une supplique, et je crois avoir mon congé; cela étant, nous nous reverrons bientôt. Vos lettres sont si courtes, que cela me donne du chagrin, je ne sais à quoi attribuer cela. Paul ne m’a pas répondu aux trois lettres que je lui ai écrites. Vous savez comme les bagatelles m’affligent, et cela n’en est pas une. Lise ne me donne point de ses nouvelles. Je viens d’apprendre par une lettre de mon beau frère, qu’il a reçu l’argent des campagnes; cela m’a fait du plaisir. M-r Olenin m’écrit souvent et plus souvent que vous, il m’aime beaucoup. Ne vous affligez pas, ma bonne amie, de nos affaires, le bon Dieu vous sauvera. Sa divine main est sur nous. Je vous écris peu, car je ne suis pas sûr du courrier. Barbe a tort de ne me point écrire. Je vous embrasse, faites des vœux pour mon congé, adieu. Constant. Batuchkof. Je m’ennuie joliment, je suis triste et rêveur. Et comment pourrais être autrement? Conservez votre santé, elle est précieuse. Celui qui nourrit les faibles oiseaux, laissera-t-il sans protection les enfans de notre sœur, l’exemple des vertus domestiques, exemple rare! Tâchons, mon amie, de leur faire tout ce qu’elle a fait...
    3. Батюшков — сестрам, 8 декабря 1808.
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    Часть текста: avec rapidité dans ce pays infernal. Et les chagrins viennent à tire-d’aile. Voyagez un peu sur la carte et vous verrez que votre pauvre frère a fait près de trois milles verstes. J’ai été à Ouleaborg et de là nous allons à Vasa. Vous savez aussi bien que moi, que l’armistice dure. J’espère, mes amies, vous revoir dans deux mois, pour ne vous quitter plus. Поручаю Богу васъ, друзья мои, и надѣюсь , что Онъ не оставитъ васъ и бѣдную Вареньку. Нѣтъ дня, чтобъ я васъ не вспомнилъ. Объ одномъ прошу васъ, не думайте — вопреки усерднымъ истолкователямъ — что не отъ меня зависитъ быть не съ вами. Деньги мнѣ не очень нужны, но если можете, то пришлите 400 р. къ Гнѣдичу , а онъ постарается мнѣ переслать чрезъ гофмаршала Ланского. Я ничего не знаю о дѣлахъ моихъ; сердце заливается кровью, когда объ нихъ думаю, и прошу Павла Алексѣевича увѣдомить меня обстоятельно; ему поручаю васъ, а на прочихъ право надѣяться нечего въ Петербургѣ . Я еще откушалъ отъ прежнихъ горестей и огорченія; не знаю, какъ достаетъ на все терпѣнія , а особливо на глупости другихъ. Цѣлую васъ всѣхъ сто разъ; писать болѣе не могу и нечего. Лизанькиныхъ дѣтей цѣлую обоихъ. Бога ради, Александра Николаевна, не оставь Филиппа. Посылаю вамъ пару шведскихъ перчатокъ, купленныхъ сто верстъ отъ Торнео, въ...
    4. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: de votre lettre du 4 avril, qui m’a été adressée par estafette, j’ai sur le champ pris les mésures nécessaires pour faire partir m-r Batuchkof, dont l’état devenait de jour en jour plus alarmant. Après être convenu avec m-r Mulhausen de tout ce qu’il y avait à faire pour remplir les intentions bienfaisantes de Sa Majesté à son égard, nous nous sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la preuve était que j’avais ordre, vu l’état de sa faible santé, de songer aux moyens de le faire...