• Приглашаем посетить наш сайт
    Пришвин (prishvin.lit-info.ru)
  • Поиск по творчеству и критике
    Cлово "RESTER"


    А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
    0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Z
    Поиск  
    1. Италинский — графу Нессельроду К. В., 29 октября (1 ноября) 1821 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    2. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.
    3. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.

    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Италинский — графу Нессельроду К. В., 29 октября (1 ноября) 1821 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    Часть текста: l’amélioration de santé, qu’il s’était promise, de l’usage des eaux et d’un changement d’air. Les souffrances physiques aux quelles il est en proie paraissent avoir été accrues par le scrupule de rester au service et de jouir de tous les avantages qu’il accorde, tandis que son état de santé recule de plus en plus l’instant, où il avait espéré pouvoir entrer en activité. Toutes mes représentations, tout ce que l’estime et l’interêt pouvaient m’inspirer de propre à calmer des inquiétudes dictées par une belle âme, mais toujours gratuites, parceque ses souffrances sont les suites de blessures reçues et de fatigues souffertes sur le champ d’honneur, rien n’avait pu porter le calme dans l’esprit de cet infortuné jeune homme. Riche de connaissances, doué d’un très haut talent, honoré des bienfaits de son Maître, entouré de l’estime et de l’amitié de tous ceux qui l’ont connu au milieu des rangs des défenseurs de la patrie et dans la solitude du cabinet, enrichissant la littérature nationale de belles productions, cependant il ne se croit plus digne de l’honneur de servir Sa Majesté l’Empereur. Accablé de maux et ne pouvant donner des soins à ses souffrances, qu’autant que notre Auguste Maître a daigné lui accorder ses généreux bienfaits, monsieur de Batuchkof m’a conjuré à diverses reprises de solliciter son congé définitif, sans vouloir considérer qu’un sémestre illimité ne lui impose aucune obligation de service et que des appointements fournissent à ses...
    2. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.
    Часть текста: bien graves pendant un séjour prolongé à Naples m’ont forcé à solliciter plusieurs fois auprès de mon chef monsieur le comte de Stackelberg la permission de me rendre aux eaux en Allemagne. Mais monsieur le comte de Stackelberg ne voulut jamais me l’accorder avant que d’avoir obtenu, me disait-il, un employé pour me remplacer dans mes fonctions de copiste. Cependant, le mauvais état de ma santé empirant de jour en jour, je fus obligé d’insinuer itérativement à mon chef, que ma position seule vis-à-vis de lui, dans l’état de souffrance où j’étais, me forçait à désirer ma démission du service. Le comte de Stackelberg me fit sentir alors qu’une demande pareille, vu les circonstances, serait considérée comme intempestive par le ministère impérial, et je fus obligé de me résigner à mon sort. A l’arrivée du baron de Hahn à Naples et d’un autre employé pour me remplacer, mon chef me fit la proposition d’accompagner le baron de Hahn dans son vogage à Rome, comme devant précéder toute la légation. Il me conseilla en même temps de m’ouvrir à monsieur d’Italinsky sur ce que je désirais...
    3. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    Часть текста: les chairs sans entamer l’os. J’ai beaucoup souffert dans mon voyage par la Prusse, mais à présent, grâces au Tout-Puissant, qui a daigné me sauver ou garder la vie, je suis dans une maison la plus hospitalière qui puisse jamais exister. Je respire à la fin. Le médecin est excellent. On m’entoure de fleurs, on me berce comme un enfant. Ah, mes amies, ce que j’ai souffert dans une voie un peu précipitée de Heilsberg, où j’ai été blessé jusqu’à Riga, couché dans une misérable charrette. Mais tout a fini, et je loue l’Éternel de m’avoir conservé la vie pour vous, mes seules et douces amies. Depuis la lettre que Richter m’a remise je n’ai point eu de nouvelles de vous. Écrivez moi à Riga, je compte rester ici deux semaines, et puis venir chez vous, ayant déjà obtenu la permission d’aller à Pétersbourg. Отъ папеньки я не имѣлъ ни одного письма. Каковъ онъ? Здоровъ ли? Писать ли мнѣ къ нему объ ранѣ ? Постарайтесь, мои други, послать мнѣ денегъ. Кромѣ тѣхъ , что Alexandrine мнѣ прислала, я отъ васъ не получалъ и нуждаюсь очень, особливо теперь. Любите меня. Поцѣлуйте Вареньку. Александра, не огорчайся, что я раненъ: легко я бы могъ быть и убитымъ; благодари и за то Бога. Ne...