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    1. Батюшков — Пушкиной Е. Г., май 1811 ("Et voux avez pu croire...").
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    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    3. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    1. Батюшков — Пушкиной Е. Г., май 1811 ("Et voux avez pu croire...").
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    Часть текста: Батюшков — Пушкиной Е. Г., май 1811 ("Et voux avez pu croire..."). Батюшков К. Н. Письмо Пушкиной Е. Г., [май 1811 г. Москва] ("Et voux avez pu croire...") // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 131. LXX. Е. Г. Пушкиной. —— (Май 1811 г. Москва). Et vous avez pu croire que j’emporterai vos livres! Les voilà, madame, et l’Arioste avec. M-r de Mouravief a gardé le premier volume. Mille et mille remerciemens pour Corinne et pour le joli cadeau que j’aimerais d’avantage s’il ne venait pas tout droit de la boutique. Je pars ce soir, mais si j’ai un moment de temps cette aprèsdinée, j’en profiterai pour venir vous présenter mes hommages. Примечания LXX. Е. Г. ПУШКИНОЙ. ( Май 1811 г. Москва ). Подлинникъ у В. К. Вульферта. — ( Стр. 131 ). M-r de Mouravief — Ив. М. Муравьевъ-Апостолъ. — „Corinne ou l’Italie“, романъ г-жи Сталь, появившійся въ 1807 году.
    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: Simferopol. Le 15 mars 1823. Monsieur le comte! Vous êtes sans doute déjà informé du malheureux état de M-r Batuchkof. Depuis le mois d’août qu’il est arrivé ici, malgré les soucis de m-r Mulhausen, malgré tout ce que j’ai pu faire, son état n’a fait qu’empirer parcequ’il a persisté à tout faire en conséquence. Enfin aujourd’hui c’est au delà de tout ce qu’on peut dire, et je crains bien que quand cette lettre vous parviendra, il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la chose et dans une auberge dont je n’ai jamais pu parvenir à le faire sortir malgré tous mes efforts, d’autant plus qu’il est toujours enfermé et ne laisse entrer qu’une fille qui le sert depuis plusieurs mois; il a renvoyé son domestique, persuadé qu’il est de connivence avec ceux qui le persécutent. Enfin, monsieur le comte, vous ne sauriez vous faire l’idée combien ce malheureux jeune homme est à plaindre. Je ne conçois pas quelle cause a pu le plonger dans cet état. Je suis bien...
    3. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: m’a été adressée par estafette, j’ai sur le champ pris les mésures nécessaires pour faire partir m-r Batuchkof, dont l’état devenait de jour en jour plus alarmant. Après être convenu avec m-r Mulhausen de tout ce qu’il y avait à faire pour remplir les intentions bienfaisantes de Sa Majesté à son égard, nous nous sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la preuve était que j’avais ordre, vu l’état de sa faible santé, de songer aux moyens de le faire arriver à...