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    Cлово "PRESENTE"


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    1. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    2. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    1. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    Часть текста: permission de me rendre aux eaux en Allemagne. Mais monsieur le comte de Stackelberg ne voulut jamais me l’accorder avant que d’avoir obtenu, me disait-il, un employé pour me remplacer dans mes fonctions de copiste. Cependant, le mauvais état de ma santé empirant de jour en jour, je fus obligé d’insinuer itérativement à mon chef, que ma position seule vis-à-vis de lui, dans l’état de souffrance où j’étais, me forçait à désirer ma démission du service. Le comte de Stackelberg me fit sentir alors qu’une demande pareille, vu les circonstances, serait considérée comme intempestive par le ministère impérial, et je fus obligé de me résigner à mon sort. A l’arrivée du baron de Hahn à Naples et d’un autre employé pour me remplacer, mon chef me fit la proposition d’accompagner le baron de Hahn dans son vogage à Rome, comme devant précéder toute la légation. Il me conseilla en même temps de m’ouvrir à monsieur d’Italinsky sur ce que je désirais devenir dans le cas que le départ de la mission fut encore retardée par des circonstances imprévues. Le jour même de mon arrivée à Rome monsieur d’Italinsky me proposa de rester auprès de lui, en m’observant, conformément à ce qui me fut objecté par le comte de Stackelberg, qu’une demande de démission pour un employé quelconque aux légations...
    2. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    Часть текста: la jambe avec une balle, qui m’a traversé les chairs sans entamer l’os. J’ai beaucoup souffert dans mon voyage par la Prusse, mais à présent, grâces au Tout-Puissant, qui a daigné me sauver ou garder la vie, je suis dans une maison la plus hospitalière qui puisse jamais exister. Je respire à la fin. Le médecin est excellent. On m’entoure de fleurs, on me berce comme un enfant. Ah, mes amies, ce que j’ai souffert dans une voie un peu précipitée de Heilsberg, où j’ai été blessé jusqu’à Riga, couché dans une misérable charrette. Mais tout a fini, et je loue l’Éternel de m’avoir conservé la vie pour vous, mes seules et douces amies. Depuis la lettre que Richter m’a remise je n’ai point eu de nouvelles de vous. Écrivez moi à Riga, je compte rester ici deux semaines, et puis venir chez vous, ayant déjà obtenu la permission d’aller à Pétersbourg. Отъ папеньки я не имѣлъ ни одного письма. Каковъ онъ? Здоровъ ли? Писать ли мнѣ къ нему объ ранѣ ? Постарайтесь, мои други, послать мнѣ денегъ. Кромѣ тѣхъ , что Alexandrine мнѣ прислала, я отъ васъ не получалъ и нуждаюсь очень, особливо теперь. Любите...