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    Cлово "IMPATIENCE"


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    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    3. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: pour faire partir m-r Batuchkof, dont l’état devenait de jour en jour plus alarmant. Après être convenu avec m-r Mulhausen de tout ce qu’il y avait à faire pour remplir les intentions bienfaisantes de Sa Majesté à son égard, nous nous sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les...
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme à votre bienveillante amitié. Mademoiselle Batuchkof part avec moi; son frère nous suivra dans quinze jours On lui a dit je ne sais trop pourquoi, qu’il devait quitter Sonnenstein, et depuis ce moment là il ne quitte plus sa cellule, ne parle avec personne, reste dans une innaction parfaite et attend avec impatience le moment de se mettre en route. Que Dieu veille sur lui! M-r Barclay a rendu à m-lle Batuchkof les services d’un frère, il est entré dans les moindres détails de son voyage avec une bonté vraiment touchante, aussi les amis...
    3. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
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    Часть текста: heureusement ont été détournées par les mesures que j’ai prises. Il a voulu se jeter par la fenêtre, il a cherché à s’évader, il a demandé à differentes reprises que je lui fasse rendre son épée, que je lui donne des rasoirs pour se faire la barbe, mais voyant que tout cela ne réussissait pas, il a cherché à ravoir sa liberté en me rendant responsable des souffrances par les quelles il terminerait ses jours, puisque je ne voulais pas lui laisser la liberté de le faire de la manière la moins douloureuse, car sur cet article il est demeuré impérturbable, et je lui ai déclaré que tant qu’il persisterait dans ce projet, je devais absolument employer tous les moyens qui étaient en mon pouvoir pour l’en empécher. En attendant, m-r Mulhausen n’a cessé de le voir, et il a toujours insisté auprès de lui pour qu’on le laisse entièrement libre, mais toujours dans la ferme résolution de se détruire; je lui ai proposé de le faire raser, mais il a refusé disant qu’il voulait qu’on lui donne des rasoirs, ainsi il est resté avec sa barbe. Je vous avoue, monsieur le comte, que n’ayant aucun moyen de le soulager, ni même de prévenir complétement un malheur, j’ai cherché autant que possible à gagner du temps par des voies de persuasion inutiles avec un homme dans son état et par une surveillance d’autant plus difficile, qu’il ne devait point s’en apercevoir, pour ne pas l’irriter d’avantage. Enfin, grâce à Dieu, jusqu’à présent je l’ai conservé! Ce qui vous prouve à quel point il est dérangé, c’est que non...