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    Cлово "DESIRE"


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    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    2. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    3. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    1. Перовский — графу Нессельроду К. В., 15 марта 1823 г.
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    Часть текста: en conséquence. Enfin aujourd’hui c’est au delà de tout ce qu’on peut dire, et je crains bien que quand cette lettre vous parviendra, il n’existera plus, non de sa belle mort, mais de quelque coup violent sans qu’il y aie moyen de le prévenir. Il y a une quinzaine de jours qu’il s’est coupé la gorge avec un rasoir, mais les plaies n’etaient pas mortelles, et il en est guérri; mais son parti est pris irrévocablement. J’ai employé de concert avec m-r Mulhausen tous les moyens possibles pour le remédier, mais tout a été inutile. On le surveille autant que possible, mais cela devient extrêmement hasardeux dans un pays dénué de moyens et de gens propres à la chose et dans une auberge dont je n’ai jamais pu parvenir à le faire sortir malgré tous mes efforts, d’autant plus qu’il est toujours enfermé et ne laisse entrer qu’une fille qui le sert depuis plusieurs mois; il a renvoyé son domestique, persuadé qu’il est de connivence avec ceux qui le persécutent. Enfin, monsieur le comte, vous ne sauriez vous faire l’idée combien ce malheureux jeune homme est à plaindre. Je ne conçois pas quelle cause a pu le plonger dans cet état. Je suis bien faché qu’il aie choisi ce pays pour venir finir aussi tristement, car il m’a fait un mal inoui; je vous assure, monsieur le comte, que je ne puis y penser de sang froid; comment voir mourir aussi tristement un jeune homme à la fleur de l’âge et si interessant sous tous les rapports sans pouvoir l’en empêcher ni lui donner aucun secours? C’est un vrai malheur qu’on l’aie laissé venir ici et qu’on ne l’aie pas gardé à Pétérsbourg, où on...
    2. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    Часть текста: — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820. Батюшков К. Н. Письмо Италинскому А. Я., [2 (14) декабря 1820 г. Рим] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 565—566. CCLXXXV. А. Я. Италинскому. —— (2-го/14-го декабря 1820 г. Римъ). Monsieur l’envoyé! Son excellence m-r le comte de Stakelberg auprès duquel j’ai eu l’honneur de servir, étant lui-même sur le point de quitter Naples, m’a donné l’ordre de me rendre à Rome. L’air volcanique de Naples ne me convenant pas, j’avais depuis bien longtems désiré un congé illimité, ou d’être attaché à une autre mission, et en ai fait la demande à mon chef. Aujourd’hui que je me trouve à Rome, je serais au comble de mes vœux, si votre excellence daignez agréer ma très humble et très respéctueuse prière, celle, monsieur l’envoyé, de m’accorder la faveur de ...
    3. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    Часть текста: Monsieur le comte! Avant que de soumettre à la justice de votre excellence ma très humble prière, je prendrai la liberté d’appeller votre attention sur les raisons qui me l’ont dictée, ainsi que sur ma conduite précédente. Une série d’indispositions bien graves pendant un séjour prolongé à Naples m’ont forcé à solliciter plusieurs fois auprès de mon chef monsieur le comte de Stackelberg la permission de me rendre aux eaux en Allemagne. Mais monsieur le comte de Stackelberg ne voulut jamais me l’accorder avant que d’avoir obtenu, me disait-il, un employé pour me remplacer dans mes fonctions de copiste. Cependant, le mauvais état de ma santé empirant de jour en jour, je fus obligé d’insinuer itérativement à mon chef, que ma position seule vis-à-vis de lui, dans l’état de souffrance où j’étais, me forçait à désirer ma démission du service. Le comte de Stackelberg me fit sentir alors qu’une demande pareille, vu les circonstances, serait considérée comme intempestive par le ministère impérial, et je fus obligé de me résigner à mon sort. A l’arrivée du baron de Hahn à Naples et d’un autre employé pour me remplacer, mon chef me fit la proposition d’accompagner le baron de Hahn dans son vogage à Rome, comme devant précéder toute la légation. Il me conseilla en même temps de m’ouvrir à monsieur d’Italinsky sur ce que je désirais devenir dans le cas que le départ de la mission fut encore retardée par des circonstances imprévues. Le jour même de mon...