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    Cлово "AMIE"


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    1. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    2. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    3. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    4. Батюшков — сестрам, 8 декабря 1808.
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    5. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    Часть текста: Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 27—28. XX. Сестрамъ . —— (28-го  марта  1809 г.  Надендаль). Ce  mercredi  de  la  semaine  Sainte. Mes bonnes, mes chères amies! J’ai reçu vos lettres toutes à la fois, avec l’argent que vous m’avez envoyé. C’était vraiment un jour de joie pour moi. Je suis plus tranquille que je ne le fus un mois avant. Il est vrai aussi, que depuis notre séparation je ne reçus aucune nouvelle de vous. Ah, mes chères amies, quand vous reverrai-je, le temps s’écoule comme un torrent, et nous n’avançons pas plus pour ça. J’espère cependant que le mois de mai nous réunirons tous sous notre toît hospitalier pour ne plus nous séparer. Comment se porte Lisabeth et Paul? Ecrivez moi je vous prie en détail. Tout m’intéresse ici, et tout ce qui vient de vous, mes chères soeurs, m’intéresse doublement. Je n’ose parler de nos affaires, je n’en sais rien. Mon père m’a écrit plusieurs lettres. Il prie mon frère Paul de lui faire parvenir la mienne. Tâchez, mes amies, de vous tranquilliser sur mon sort. Je bois ici à longs traits l’ennui avec l’ésperance toujours douce et trompeuse d’un avenir plus...
    2. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: Батюшков К. Н. Письмо Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809 г. Надендаль // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 30—32. XXII. А. Н. Батюшковой. —— 12-го апрѣля 1809 г. Мѣстечко Надендаль. J’ai reçu votre lettre du 12 février, ma chère Alexandrine, et m’empresse de vous faire réponse. Je crois que cette épître ne vous trouvera plus à Vologda, vous devez être à la campagne. Profitez du beau tems, il n’y a que le printems qui donne la santé. J’ai été ravi d’apprendre que vous vous êtes amusée l’hiver passé et que Barbe a beaucoup dansé. Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que ...
    3. Батюшков — сестрам, 17 июня 1807.
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    Часть текста: à la fin. Le médecin est excellent. On m’entoure de fleurs, on me berce comme un enfant. Ah, mes amies, ce que j’ai souffert dans une voie un peu précipitée de Heilsberg, où j’ai été blessé jusqu’à Riga, couché dans une misérable charrette. Mais tout a fini, et je loue l’Éternel de m’avoir conservé la vie pour vous, mes seules et douces amies. Depuis la lettre que Richter m’a remise je n’ai point eu de nouvelles de vous. Écrivez moi à Riga, je compte rester ici deux semaines, et puis venir chez vous, ayant déjà obtenu la permission d’aller à Pétersbourg. Отъ папеньки я не имѣлъ ни одного письма. Каковъ онъ? Здоровъ ли? Писать ли мнѣ къ нему объ ранѣ ? Постарайтесь, мои други, послать мнѣ денегъ. Кромѣ тѣхъ , что Alexandrine мнѣ прислала, я отъ васъ не получалъ и нуждаюсь очень, особливо теперь. Любите меня. Поцѣлуйте Вареньку. Александра, не огорчайся, что я раненъ: легко я бы могъ быть и убитымъ; благодари и за то Бога. Ne m’écrivez rien de ce qui puisse me chagriner! Mes nerfs sont devenus faibles, je m’irrite à chaque instant. Ne vous alarmez pas sur ma position présente. Le maître de la maison m-r Müguel est le plus riche négociant de Riga. Sa fille est charmante, la mère bonne comme un ange, tout cela m’entoure, l’on me fait de la musique. Абраму Ильичу мое почтеніе; поцѣлуй за меня его; я право усталъ писать, да и не велятъ, а мнѣ есть многое о чемъ его просить....
    4. Батюшков — сестрам, 8 декабря 1808.
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    Часть текста: 1808. Городъ Гамлекарлеби, на маршѣ къ Вазѣ .                                     Dans quelles inquietudes mortelles je suis, mes chères amies, point de nouvelles de vous, le tems s’écoule avec rapidité dans ce pays infernal. Et les chagrins viennent à tire-d’aile. Voyagez un peu sur la carte et vous verrez que votre pauvre frère a fait près de trois milles verstes. J’ai été à Ouleaborg et de là nous allons à Vasa. Vous savez aussi bien que moi, que l’armistice dure. J’espère, mes amies, vous revoir dans deux mois, pour ne vous quitter plus. Поручаю Богу васъ, друзья мои, и надѣюсь , что Онъ не оставитъ васъ и бѣдную Вареньку. Нѣтъ дня, чтобъ я васъ не вспомнилъ. Объ одномъ прошу васъ, не думайте — вопреки усерднымъ истолкователямъ — что не отъ меня зависитъ быть не съ вами. Деньги мнѣ не очень нужны, но если можете, то пришлите 400 р. къ Гнѣдичу , а онъ постарается мнѣ переслать чрезъ гофмаршала Ланского. Я ничего не знаю о дѣлахъ моихъ; сердце заливается кровью, когда объ нихъ думаю, и прошу Павла Алексѣевича увѣдомить меня обстоятельно; ему поручаю васъ, а на прочихъ право надѣяться нечего въ Петербургѣ . Я еще откушалъ отъ прежнихъ горестей и огорченія; не знаю, какъ...
    5. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    Часть текста: bien, j’en suis charmé. J’ai donné une supplique, et je crois avoir mon congé; cela étant, nous nous reverrons bientôt. Vos lettres sont si courtes, que cela me donne du chagrin, je ne sais à quoi attribuer cela. Paul ne m’a pas répondu aux trois lettres que je lui ai écrites. Vous savez comme les bagatelles m’affligent, et cela n’en est pas une. Lise ne me donne point de ses nouvelles. Je viens d’apprendre par une lettre de mon beau frère, qu’il a reçu l’argent des campagnes; cela m’a fait du plaisir. M-r Olenin m’écrit souvent et plus souvent que vous, il m’aime beaucoup. Ne vous affligez pas, ma bonne amie, de nos affaires, le bon Dieu vous sauvera. Sa divine main est sur nous. Je vous écris peu, car je ne suis pas sûr du courrier. Barbe a tort de ne me point écrire. Je vous embrasse, faites des vœux pour mon congé, adieu. Constant. Batuchkof. Je m’ennuie joliment, je suis triste et rêveur. Et comment pourrais être autrement? Conservez votre santé, elle est précieuse. Celui qui nourrit les faibles oiseaux, laissera-t-il sans protection les enfans de notre sœur, l’exemple des vertus domestiques, exemple rare! Tâchons, mon amie, de leur faire tout ce qu’elle a fait pour nous. C’est dans ma maladie qu’elle a déployé son caractère. Je serais un ingrat si j’oubliais son amitié tendre et courageuse. Присмотри за садомъ, приготовь для меня гостепріимный уголъ. Я не праздновалъ моихъ именинъ 21-го мая. Это число для меня несчастливо. M-me Tcheglokof que je vois...