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    Cлово "ADIEU"


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    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    2. Батюшков — Вяземскому П. А., август — сентябрь 1811.
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    3. Батюшков — Жуковскому В. А., август 1815.
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    4. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    5. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: Е. Г. Пушкина В. А. Жуковскому. Dresde. Le 30 juin 1828. Enfin, mon cher ami, je pars dans deux jours, pour revenir dans mes foyers. Le coeur me bat de joie! L’idée de revoir mon fils aprés une absence de quatre ans, est une idée bien consolante. Mais hélas, je le reverrai veuf et afligé. Puisse ma tendresse maternelle adoucir l’amertume de ses regrets! J’y emploierai tous mes efforts. J’ai quitté Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme à votre bienveillante amitié....
    2. Батюшков — Вяземскому П. А., август — сентябрь 1811.
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    Часть текста: : я не Жуковскій и не люблю спорить, а ты похожъ на этихъ шалуновъ, которые A faux titre insolens et sans fruit hazardeux Pissent au bénestier, afin qu’on parle d’eux. (Regnier). Что же касается до каррикатуры, то она безподобна. У меня до тебя есть просьба, именно: мнѣ нужна необходимо книга, достань ее и пришли мнѣ; она хоть и ничего не значитъ какъ поэма, но значитъ много какъ компиляція; а я нынѣ хочу писать что-нибудь о Скандинавахъ и безъ нея какъ безъ рукъ. Имя ея: Les Scandinaves , par Montbron или Monbron, и даже продается у Gautier; я ее тамъ видѣлъ . Бога ради пришли поскорѣе , а еще скорѣе пиши, или я съ ума сойду отъ скуки, а Батюшковъ безъ ума будетъ дуракъ, хуже дурака, потому что у него нѣтъ ни гроша денегъ. Mais bagatelle que tout celà! Vive l’amour et le bon vin!         Voila mon refrain! Adieu, je vous aime, comme mes yeux. Батюшковъ. Ты забавенъ. Какъ мнѣ писать къ тебѣ письма? Я буду писать: въ жительствѣ (впередъ буду писать: въ виталищѣ ), пока ты ...
    3. Батюшков — Жуковскому В. А., август 1815.
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    Часть текста: славу, и люби ее! И мнѣ совѣтуешь броситься въ море поэзіи!... Я увѣренъ , что ты говоришь отъ сердца, и вотъ почему я скажу тебѣ , милый другъ, что обстоятельства и нѣсколько лѣтъ огорченій потушили во мнѣ страсть и жажду стиховъ. Можетъ быть, придутъ счастливѣйшія времена; тогда я буду писать, а въ ожиданіи ихъ читать твои прелестные стихи, читать и перечитывать, и твердить ихъ наизусть. Теперь я по горло въ прозѣ . Воображеніе поблѣднѣло , но не сердце, къ счастію, и я этому радуюсь. Оно еще способнѣе , нежели прежде, любить друзей и чувствовать все великое, изящное. Страданія его не убьютъ, милый другъ, а надежда быть тебя достойнымъ дастъ ему силу. Вотъ все, что я скажу о себѣ . Когда-нибудь, въ сладостныхъ повѣреніяхъ дружбы, въ тихомъ углу твоемъ (въ Москвѣ или Петербургѣ , гдѣ случится), ты узнаешь болѣе . Но когда же будетъ это свиданіе дружбы? Тусклая надежда! Кстати о прозѣ напечатанной: Костогоровъ показывалъ мнѣ...
    4. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    Часть текста: 400 r. Vous vous portez bien, j’en suis charmé. J’ai donné une supplique, et je crois avoir mon congé; cela étant, nous nous reverrons bientôt. Vos lettres sont si courtes, que cela me donne du chagrin, je ne sais à quoi attribuer cela. Paul ne m’a pas répondu aux trois lettres que je lui ai écrites. Vous savez comme les bagatelles m’affligent, et cela n’en est pas une. Lise ne me donne point de ses nouvelles. Je viens d’apprendre par une lettre de mon beau frère, qu’il a reçu l’argent des campagnes; cela m’a fait du plaisir. M-r Olenin m’écrit souvent et plus souvent que vous, il m’aime beaucoup. Ne vous affligez pas, ma bonne amie, de nos affaires, le bon Dieu vous sauvera. Sa divine main est sur nous. Je vous écris peu, car je ne suis pas sûr du courrier. Barbe a tort de ne me point écrire. Je vous embrasse, faites des vœux pour mon congé, adieu. Constant. Batuchkof. Je m’ennuie joliment, je suis triste et rêveur. Et comment pourrais être autrement? Conservez votre santé, elle est précieuse. Celui qui...
    5. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: faire réponse. Je crois que cette épître ne vous trouvera plus à Vologda, vous devez être à la campagne. Profitez du beau tems, il n’y a que le printems qui donne la santé. J’ai été ravi d’apprendre que vous vous êtes amusée l’hiver passé et que Barbe a beaucoup dansé. Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je suis mal servi, mes effets se perdent à chaque moment, mon linge est abîmé. Ecrivez à Platon, qu’il habille le petit qui est chez lui, je l’enverrai chercher d’ici, par des courriers qui vont à Pétersbourg, mais ne manquez pas de le prévenir le plutôt possible. Et payez lui le reste de ce que je lui dois. Ce petit me servira beaucoup mieux. Je ne veux pas de nos grands domestiques. Un soldat soigne mes chevaux. Et ce qui...