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    1. Ханыков — графу Нессельроду К. В., 26 июня (8 июля) 1824 г.
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    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    1. Ханыков — графу Нессельроду К. В., 26 июня (8 июля) 1824 г.
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    Часть текста: m’a fait l’honneur de m’adresser en date du 31 mai concernant le conseiller de cour Batuchkof. J’ai appris en même temps qu’il venait d’arriver à Drèsde avec le docteur Baumann qui l’avait accompagné de Dorpat et qu’il était dans un état d’aliénation et d’irritation continuel. Le jour même de son arrivée il en a montré de violents accés, ayant cherché à se soustraire à ses surveillances et à s’évader. Néanmoins il fut conduit au Sonnenstein et remis entre les mains du docteur Pinitz, médecin de l’établissement, et qui a sous sa direction particulière le pensionnat des étrangers. Il y est depuis ce moment, et l’on m’assure qu’il commence à paraître un peu plus calme; mais le médecin ne permet à personne des ses connaissances de le voir, ayant soin de lui faire éviter tout ce qui pourrait lui causer des émotions ou ramener ses idées sur des objets qui l’agitent. A mon arrivée ici j’y ai trouvé mademoiselle de Batuchkof qui bientôt après est allée s’établir à Pirna pour y être plus à portée de vouer ses soins à son malheureux frère. Elle avait vu le docteur Pinitz qui trouve, m’a-t-elle dit,...
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: г. // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 331—332 (1-й паг.). Е. Г. Пушкина В. А. Жуковскому. Dresde. Le 30 juin 1828. Enfin, mon cher ami, je pars dans deux jours, pour revenir dans mes foyers. Le coeur me bat de joie! L’idée de revoir mon fils aprés une absence de quatre ans, est une idée bien consolante. Mais hélas, je le reverrai veuf et afligé. Puisse ma tendresse maternelle adoucir l’amertume de ses regrets! J’y emploierai tous mes efforts. J’ai quitté Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme à votre bienveillante amitié. Mademoiselle Batuchkof part avec moi; son frère nous suivra dans quinze jours On lui a dit je ne sais ...