• Приглашаем посетить наш сайт
    Херасков (heraskov.lit-info.ru)
  • Поиск по творчеству и критике
    Cлово "PLACER"


    А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
    0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Z
    Поиск  
    1. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    3. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.

    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    Часть текста: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 329 (1-й паг.). В. А. Жуковскій къ Эрдманну. (Черновой проектъ). (Весна 1824 г.). Cher et respectable ami! Je m’adresse à votre humanité; j’ose demander votre assistance dans une affaire qui m’interesse infinement. Cette lettre vous sera remise par le docteur Baumann, de Dorpat, que peut être vous connaissez dejà personnellement. Il a conduit jusqu’à Drèsde un jeune homme m-r Batuchkof; c’est un de mes meilleurs amis: il a eu le malheur d’avoir l’esprit aliené. D’après le conseil des docteurs de Pétérsbourg, on s’est decidé de le placer à Sonnenstein sous la garde du docteur Pinitz, auquel on a déjà écrit sur ce sujet, et qui dans sa réponse (qu’il a fait au docteur Hufeland) a declaré qu’il consentait de recevoir Batuchkof chez lui pour la somme de 800 à 1.200 thalers (pour traitement, logement et nourriture). D’après cela la soeur de Batuchkof l’a conduit à Drésde. Permettez moi de confier et le frère et la soeur à vos soins bienfaisants, donnez vous la peine de recommender mon malheureux ami au soins de monsieur Pinitz, et une fois qu’il...
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    Часть текста: d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme à votre bienveillante amitié. Mademoiselle Batuchkof part avec moi; son frère nous suivra dans quinze jours On lui a dit je ne sais trop pourquoi, qu’il devait quitter Sonnenstein, et depuis ce moment là il ne quitte plus sa cellule, ne parle avec personne, reste dans une innaction parfaite et attend avec impatience...
    3. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.
    Часть текста: CCLXXXIX. Графу К. В. Нессельроду. —— (18-го/24-го декабря 1821 г. Дрезденъ). Monsieur le comte! Avant que de soumettre à la justice de votre excellence ma très humble prière, je prendrai la liberté d’appeller votre attention sur les raisons qui me l’ont dictée, ainsi que sur ma conduite précédente. Une série d’indispositions bien graves pendant un séjour prolongé à Naples m’ont forcé à solliciter plusieurs fois auprès de mon chef monsieur le comte de Stackelberg la permission de me rendre aux eaux en Allemagne. Mais monsieur le comte de Stackelberg ne voulut jamais me l’accorder avant que d’avoir obtenu, me disait-il, un employé pour me remplacer dans mes fonctions de copiste. Cependant, le mauvais état de ma santé empirant de jour en jour, je fus obligé d’insinuer itérativement à mon chef, que ma position seule vis-à-vis de lui, dans l’état de souffrance où j’étais, me forçait à désirer ma démission du service. Le comte de Stackelberg me fit sentir alors...