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    1. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    2. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    1. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: du beau tems, il n’y a que le printems qui donne la santé. J’ai été ravi d’apprendre que vous vous êtes amusée l’hiver passé et que Barbe a beaucoup dansé. Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je...
    2. Батюшков — Батюшковой А. Н., 3 мая 1809.
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    Часть текста: j’en suis charmé. J’ai donné une supplique, et je crois avoir mon congé; cela étant, nous nous reverrons bientôt. Vos lettres sont si courtes, que cela me donne du chagrin, je ne sais à quoi attribuer cela. Paul ne m’a pas répondu aux trois lettres que je lui ai écrites. Vous savez comme les bagatelles m’affligent, et cela n’en est pas une. Lise ne me donne point de ses nouvelles. Je viens d’apprendre par une lettre de mon beau frère, qu’il a reçu l’argent des campagnes; cela m’a fait du plaisir. M-r Olenin m’écrit souvent et plus souvent que vous, il m’aime beaucoup. Ne vous affligez pas, ma bonne amie, de nos affaires, le bon Dieu vous sauvera. Sa divine main est sur nous. Je vous écris peu, car je ne suis pas sûr du courrier. Barbe a tort de ne me point écrire. Je vous embrasse, faites des vœux pour mon congé, adieu. Constant. Batuchkof. Je m’ennuie joliment, je suis triste et rêveur. Et comment pourrais être autrement? Conservez votre santé, elle est précieuse. Celui qui nourrit les faibles oiseaux, laissera-t-il sans protection les enfans de notre sœur, l’exemple des vertus...