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    1. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    2. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    1. Батюшков — сестрам, 28 марта 1809.
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    Часть текста: tranquille que je ne le fus un mois avant. Il est vrai aussi, que depuis notre séparation je ne reçus aucune nouvelle de vous. Ah, mes chères amies, quand vous reverrai-je, le temps s’écoule comme un torrent, et nous n’avançons pas plus pour ça. J’espère cependant que le mois de mai nous réunirons tous sous notre toît hospitalier pour ne plus nous séparer. Comment se porte Lisabeth et Paul? Ecrivez moi je vous prie en détail. Tout m’intéresse ici, et tout ce qui vient de vous, mes chères soeurs, m’intéresse doublement. Je n’ose parler de nos affaires, je n’en sais rien. Mon père m’a écrit plusieurs lettres. Il prie mon frère Paul de lui faire parvenir la mienne. Tâchez, mes amies, de vous tranquilliser sur mon sort. Je bois ici à longs traits l’ennui avec l’ésperance toujours douce et trompeuse d’un avenir plus agréable. Nous revenons d’une expédition assez périlleuse, c’est à dire des iles d’Aland. Réprésentez vous une armée de 20...
    2. Батюшков — Батюшковой А. Н., 12 апреля 1809.
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    Часть текста: Т. 3. — 1886 . — С. 30—32. XXII. А. Н. Батюшковой. —— 12-го апрѣля 1809 г. Мѣстечко Надендаль. J’ai reçu votre lettre du 12 février, ma chère Alexandrine, et m’empresse de vous faire réponse. Je crois que cette épître ne vous trouvera plus à Vologda, vous devez être à la campagne. Profitez du beau tems, il n’y a que le printems qui donne la santé. J’ai été ravi d’apprendre que vous vous êtes amusée l’hiver passé et que Barbe a beaucoup dansé. Priez la, ma bonne amie, qu’elle s’occupe de choses sérieuses, qu’elle lise, écrive, etc. Je n’ai pas besoin de vous donner ce conseil, je sais que vous l’aimez comme vos yeux, mais vous serez toujours charmée de savoir mon avis, tant qu’il s’agit d’une sœur que le Ciel nous a confiée. Je me remets à vous sur mes affaires. Vous savez bien qu’absent, je ne puis rien faire; écrivez moi en détail, je vous prie; vos lettres sont trop courtes. Je ne regrette pas André. Je saurai récompenser Basile, dites lui, qu’il vous serve bien, et il ne sera pas oublié de moi. J’ai un grand désagrément, ma chère amie. Mon Jacob est malade et sa maladie est chronique. Je suis mal servi, mes effets se perdent à chaque moment, mon linge est abîmé. Ecrivez à Platon, qu’il habille le petit qui est chez lui, je l’enverrai...