• Приглашаем посетить наш сайт
    Орловка (orlovka.niv.ru)
  • Поиск по творчеству и критике
    Cлово "DECLARE"


    А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
    0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Z
    Поиск  
    1. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.

    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Жуковский — Эрдманну, весна 1824 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    Часть текста: Pinitz, auquel on a déjà écrit sur ce sujet, et qui dans sa réponse (qu’il a fait au docteur Hufeland) a declaré qu’il consentait de recevoir Batuchkof chez lui pour la somme de 800 à 1.200 thalers (pour traitement, logement et nourriture). D’après cela la soeur de Batuchkof l’a conduit à Drésde. Permettez moi de confier et le frère et la soeur à vos soins bienfaisants, donnez vous la peine de recommender mon malheureux ami au soins de monsieur Pinitz, et une fois qu’il sera placé, ne lui refusez pas votre protection. On est persuadé qu’il sera parfaitement bien à Sonnenstein, où l’on traite avec humanité et douceur les malades, où l’on possède tous les moyens necessaires pour la guérison de cette sorte de maladies: mais en recommandant mon malheureux ami particulièrement à vous, cher et respectable m-r Erdmann, je serai pour ma propre personne plus tranquille sur son compte. Veuillez donc bien lui donner votre protection; en même temps ne refusez pas votre assistance à sa pauvre soeur, qui a tout abandonné pour le suivre; cette personne, vraiment respectable par son devouement, est tout-à-fait étrangère à Dresde: veuillez bien lui donner de bons conseils quant au genre de vie, qu’elle pourra y...
    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 19 апреля 1823 г.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.
    Часть текста: nécessaires pour les exécuter. Son état n’a fait qu’empirer, et j’ai eu bien de la peine à le conserver jusqu’à présent. Il a fait plusieurs tentatives, mais qui heureusement ont été détournées par les mesures que j’ai prises. Il a voulu se jeter par la fenêtre, il a cherché à s’évader, il a demandé à differentes reprises que je lui fasse rendre son épée, que je lui donne des rasoirs pour se faire la barbe, mais voyant que tout cela ne réussissait pas, il a cherché à ravoir sa liberté en me rendant responsable des souffrances par les quelles il terminerait ses jours, puisque je ne voulais pas lui laisser la liberté de le faire de la manière la moins douloureuse, car sur cet article il est demeuré impérturbable, et je lui ai déclaré que tant qu’il persisterait dans ce projet, je devais absolument employer tous les moyens qui étaient en mon pouvoir pour l’en empécher. En attendant, m-r Mulhausen n’a cessé de le voir, et il a toujours insisté...