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    1. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    2. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    1. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    Часть текста: Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820. Батюшков К. Н. Письмо Италинскому А. Я., [2 (14) декабря 1820 г. Рим] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 565—566. CCLXXXV. А. Я. Италинскому. —— (2-го/14-го декабря 1820 г. Римъ). Monsieur l’envoyé! Son excellence m-r le comte de Stakelberg auprès duquel j’ai eu l’honneur de servir, étant lui-même sur le point de quitter Naples, m’a donné l’ordre de me rendre à Rome. L’air volcanique de Naples ne me convenant pas, j’avais depuis bien longtems désiré un congé illimité, ou d’être attaché à une autre mission, et en ai fait la demande à mon chef. Aujourd’hui que je me trouve à Rome, je serais au comble de mes vœux, si votre excellence daignez agréer ma très humble et très respéctueuse prière, celle, monsieur l’envoyé, de m’accorder la faveur de continuer le service impérial sous vos auspices et de vouloir bien demander pour moi au ministère la grâce d’être attaché à la mission de votre excellence. Je suis avec réspect, monsieur l’envoyé, de votre excellence le très humble et très obeissant serviteur. Batuschkoff. Rome. Ce 2 / 14 decembre 1820. Примечания CCLXXXV. А. Я. ИТАЛИНСКОМУ. 2-го — 14-го декабря 1820 г. Римъ . Подлинникъ въ архивѣ министерства иностранныхъ дѣлъ .
    2. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 (24) декабря 1821.
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    Часть текста: comte! Avant que de soumettre à la justice de votre excellence ma très humble prière, je prendrai la liberté d’appeller votre attention sur les raisons qui me l’ont dictée, ainsi que sur ma conduite précédente. Une série d’indispositions bien graves pendant un séjour prolongé à Naples m’ont forcé à solliciter plusieurs fois auprès de mon chef monsieur le comte de Stackelberg la permission de me rendre aux eaux en Allemagne. Mais monsieur le comte de Stackelberg ne voulut jamais me l’accorder avant que d’avoir obtenu, me disait-il, un employé pour me remplacer dans mes fonctions de copiste. Cependant, le mauvais état de ma santé empirant de jour en jour, je fus obligé d’insinuer itérativement à mon chef, que ma position seule vis-à-vis de lui, dans l’état de souffrance où j’étais, me forçait à désirer ma démission du service. Le comte de Stackelberg me fit sentir alors qu’une demande pareille, vu les circonstances, serait considérée comme intempestive ...