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    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    3. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    Часть текста: et malheureux Batuchkof: j’avais employé auprès de lui l’éloquence d’une amitié profondément sentie, et le tout en vain; son obstination à repousser les remèdes faisait mon désespoir. Lors de ma dernière visite, je renouvellai mes instances, il me dit: „Si vous voulez que je me fasse traiter, emmenez moi à Dresde, laissez moi loger sous le même toît que vous, et je vous promets de tout prendre de votre main, même du poison“. Ma réponse fut, que je ne refuserai pas de le loger chez moi, après qu’il aura pris des remèdes l’espace de trois semaines; je le menaçai même do ne plus revenir le voir à Sonnenstein. Il demeurait infléxible, et je le quittai la mort dans l’âme. Au bout de quinze jours j’en reçus une lettre, dans laquelle il me renouvellait ses prières. Je me hâtai de lui répondre, que tant qu’il s’obstinerait à me refuser ma demande de se soumettre aux avis de m-r Pinitz, je me croyais en droit d’être aussi infléxible que lui. Il m’ecrivit une réponse fulminante, me disant qu’il ne me reconnaissait plus que j’étais de moitié avec ses bourreaux, il se radoucit cependant vers la fin de sa triste missive, et la termina en me disant qu’il resterait toujours mon ami fidèle. Le même jour il consentit à prendre medecine, et en voici quinze qu’il...
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 331—332 (1-й паг.). Е. Г. Пушкина В. А. Жуковскому. Dresde. Le 30 juin 1828. Enfin, mon cher ami, je pars dans deux jours, pour revenir dans mes foyers. Le coeur me bat de joie! L’idée de revoir mon fils aprés une absence de quatre ans, est une idée bien consolante. Mais hélas, je le reverrai veuf et afligé. Puisse ma tendresse maternelle adoucir l’amertume de ses regrets! J’y emploierai tous mes efforts. J’ai quitté Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils;...
    3. Докладная записка о К. Н. Батюшкове, представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году
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    Часть текста: представленная графу И. А. Капо д'Истриа в 1817 году // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 317—318 (1-й паг.). Докладная записка о К. Н. Батюшковѣ , представленная графу И. А. Капо д’Истріа въ 1817 году 1 ). Il n’est point de devoir plus agréable à remplir, que celui de signaler le mérite modeste aux yeux du digne dépositaire de la confiance de l’Empereur. Mr. de Batuchkof est entré au service en 1805. Il n’a fait que suivre sa vocation la plus chère en embrassant à cette époque la carrière de l’instruction publique; il justifia bientôt par ses talents la bienveillance particulière que lui témoigna mr. de Mouravief, curateur de l’université de Moscou, auprès duquel il remplit les fonctions de secrétaire. En 1807 la voix de la patrie lui fit prendre les armes. Il participa aux affaires de Guttstadt, de la Passarge et de Heilsberg, où il reçut une blessure grave à la jointure de la cuisse; une balle la traversa. Pour récompense il fut placé au régiment des chasseurs de la garde comme enseigne. Il fit postérieurement les campagnes de Finlande: il se trouva aux deux affaires d’Idensalmi et fit partie de l’expédition d’Aland. En 1809, il obtint, avec le rang de sous-lieutenant et l’uniforme, une démission que ses blessures réclamaient impérieusement. Vers la fin de 1812, il suivit de nouveau les drapeaux de l’armée et entra au régiment de Rylsk avec le rang de capitaine en second. D’abord aide de camp du lieutenant-général Bakhmétef, il remplit ensuite les mêmes fonctions près de mr....