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    Cлово "ATTACHE"


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    1. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    3. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    4. Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826.
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    1. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    Часть текста: — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820. Батюшков К. Н. Письмо Италинскому А. Я., [2 (14) декабря 1820 г. Рим] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 565—566. CCLXXXV. А. Я. Италинскому. —— (2-го/14-го декабря 1820 г. Римъ). Monsieur l’envoyé! Son excellence m-r le comte de Stakelberg auprès duquel j’ai eu l’honneur de servir, étant lui-même sur le point de quitter Naples, m’a donné l’ordre de me rendre à Rome. L’air volcanique de Naples ne me convenant pas, j’avais depuis bien longtems désiré un congé illimité, ou d’être attaché à une autre mission, et en ai fait la demande à mon chef. Aujourd’hui que je me trouve à Rome, je serais au comble de mes vœux, si votre excellence daignez agréer ma très humble et très respéctueuse prière, celle, monsieur l’envoyé, de m’accorder la faveur de continuer le service impérial sous vos auspices et de vouloir bien demander pour moi au ministère la grâce d’être...
    2. Перовский — графу Нессельроду К. В., 21 апреля 1821 г.
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    Часть текста: паг.). Н. И. Перовскій графу К. В. Нессельроду. Simferopol. Le 21 avril 1821. Monsieur le comte! Je m’empresse de vous informer que conformément au contenu de votre lettre du 4 avril, qui m’a été adressée par estafette, j’ai sur le champ pris les mésures nécessaires pour faire partir m-r Batuchkof, dont l’état devenait de jour en jour plus alarmant. Après être convenu avec m-r Mulhausen de tout ce qu’il y avait à faire pour remplir les intentions bienfaisantes de Sa Majesté à son égard, nous nous sommes arrêtés au parti de préparer d’abord tout ce qu’il fallait pour son départ soit de bon gré par les moyens de persuasion, soit enfin d’autorité. D’après le caractère de sa maladie qui ne nous laissait aucun espoir d’effectuer son départ par les voies de conciliation, nous sommes convenus de ne lui rien dire jusqu’au moment où tout serait prêt, parcequ’il fallait prévoir, que dès-lors il aurait employé tous les moyens possibles de déstruction sans qu’aucune surveillance puisse y remèdier à moins de le garotter, chose à laquelle je n’ai pas eu recours jusqu’à présent à son égard, réservant cette ressource pour la dernière extrêmité. Enfin, avant-hier que tout était préparé et même la camisole à longues manches, j’ai préalablement envoyé chez lui le docteur Mulhausen, qui devait lui dire, que j’avais reçu de votre excellence une lettre à son sujet pleine des preuves les plus flatteuses de l’intérêt que l’Empereur prenait à lui, dont la...
    3. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
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    Часть текста: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 331—332 (1-й паг.). Е. Г. Пушкина В. А. Жуковскому. Dresde. Le 30 juin 1828. Enfin, mon cher ami, je pars dans deux jours, pour revenir dans mes foyers. Le coeur me bat de joie! L’idée de revoir mon fils aprés une absence de quatre ans, est une idée bien consolante. Mais hélas, je le reverrai veuf et afligé. Puisse ma tendresse maternelle adoucir l’amertume de ses regrets! J’y emploierai tous mes efforts. J’ai quitté Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune...
    4. Батюшков — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826.
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    Часть текста: — Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта 1826. Батюшков К. Н. Письмо Пушкиной Е. Г., Зонненштейн, 11 марта [1826 г.?] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 585. IV. Е. Г. Пушкиной. —— Sonnestein, le 11 mars (1826?). Votre lettre a été dictée par mes bourreaux et par des charlatans: je n’y attache nul intérêt. J’attends ici la réponse de Sa Majesté l’Empereur, qui sera digne de lui. Tant pis pour tous, tant pis pour monsieur de Canicof, si je ne sortais d’içi qu’avec une santé ruinée. Un seul mot de monsieur de Canicof, et c’est toujours à lui que je me fais un devoir de recourir, peut prévenir bien des maux ou bien m’égarer. Içi les bains sont des tortures, la médecine du poison, les médecins des scélérats. C’est ce que je vous ai dit plusieurs fois, madame. Toutefois, ce n’est plus à vous à me donner des conseils. Je ne relève que de l’Empereur, m’étant adressé à lui, que de monsieur Canicoff, qui est notre ministre à Dresde; tout ce conventicule infâme n’est d’aucune autorité pour moi. Votre fille sera ma femme, et je serai toujours votre...