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    1. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822.
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    2. Италинский — графу Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г.
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    1. Батюшков — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822.
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    Часть текста: — графу Нессельроду К. В., 18 апреля 1822. Батюшков К. Н. Письмо графу Нессельроду К. В., [18 апреля 1822 г. Петербург] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 576. CCXCI. Графу К. В. Нессельроду. —— (18-го апрѣля 1822 г. Петербургъ.) Monsieur le comte! Ayant profité de l’autorisation éventuelle que votre excellence a bien voulu m’annoncer par sa lettre du 14 janvier, j’ai cherché à mettre quelque ordre à mes affaires, et je comptai retirer plus d’un avantage de mon arrivée, en poursuivant la carrière de mon service sous les auspices du ministère. Mais l’état de ma santé réclamant de nouveau l’usage des eaux thérmales et celui des bains de mer, je prends la liberté de solliciter des bontés de votre excellence la permission de me rendre au Caucase et en Tauride. J’ose espérer, monsieur le comte, que vous daignerez m’obtenir pour cela l’agrément de Sa Majesté l’Empereur, la conservation temporaire des...
    2. Италинский — графу Нессельроду К. В., 14 (26) апреля 1821 г.
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    Часть текста: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 318—319 (1-й паг.). А. Я. Италинскій графу К. В. Нессельроду. 14 Rome. Le — avril 1821. 26 Monsieur le comte! C’est avec une bien vive affliction que je dois informer votre excellence, que la santé de monsieur le conseiller de cour de Batuchkof n’a point gagné depuis son séjour à Rome. Les medecins disent qu’il lui faut absolument respirer l’air du midi de la France. Cet employé, aussi recommandable par le zèle avec lequel il a servi pendant deux années à Naples, malgré toutes ses souffrances physiques, suites des dangereuses blessures qu’il a remportées dans les glorieuses campagnes de la délivrance européenne, que par son beau talent pour la poésie, qui fait de lui un ornement de sa patrie, cet employé, dis-je, n’a presque pas de fortune. Ces considérations, autant que la circonstance qui fait qu’il n’a point encore été assez heureux pour obtenir quelque témoignage de la satisfaction souveraine depuis qu’il sert dans la diplomatie, m’engagent à supplier votre excellence de vouloir bien obtenir, pour monsieur de Batuchkof, la munificence de Sa Majesté l’Empereur, un congé illimité, afin de soigner sa santé, avec une augmentation d’appointements de 500 roubles bonifiés, ce qui avec les mille roubles argent...