• Приглашаем посетить наш сайт
    Ходасевич (hodasevich.lit-info.ru)
  • Поиск по творчеству и критике
    Cлово "MIEN"


    А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
    0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Z
    Поиск  
    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.

    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Пушкина — Жуковскому В. А., 30 июня 1828 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    Часть текста: Puisse ma tendresse maternelle adoucir l’amertume de ses regrets! J’y emploierai tous mes efforts. J’ai quitté Moscou portant le deuil d’une bienfaitrice, d’une seconde mère, j’y reviens en deuil pour une belle-fille, que je n’ai point connu, mais dont les lettres étaient pleines de candeur et me promettaient un avenir selou mes voeux. Qui sait ce qui m’attend encore et si la santé de mon angélique Pauline se soutiendra dans un climat aussi rigoureux que le nôtre! Cette incertitude accablante pour mon coeur empoisonne d’avance le plaisir que j’aurai à me retrouver dans mon pays. Priez pour moi, mon digne ami. La prière d’un être bon comme vous tient lieu de bénedictions. Cette lettre vous parviendra par m-r Freihard, qui se rend à Pétérsbourg pour y placer son fils; protegez le jeune homme, mon cher Joukovsky, aidez le de vos conseils, de vos avis, et tachez de lui applanir les difficultés inséparables d’une carrière qui commence. Je sais que c’est vous rendre service, que de vous procurer les moyens d’être utile, aussi n’ai-je pas balancé un moment à recommander le jeune homme...
    2. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
    Входимость: 1. Размер: 4кб.
    Часть текста: que notre infortuné ami vient de se soumettre enfin à un traitement suivi! Votre coeur bon et sensible comprendra à merveille tout ce qu’éprouve le mien aujourd’hui, en vous transmettant la lettre ci-jointe. J’ai eu deux fois la triste douceur de voir le cher et malheureux Batuchkof: j’avais employé auprès de lui l’éloquence d’une amitié profondément sentie, et le tout en vain; son obstination à repousser les remèdes faisait mon désespoir. Lors de ma dernière visite, je renouvellai mes instances, il me dit: „Si vous voulez que je me fasse traiter, emmenez moi à Dresde, laissez moi loger sous le même toît que vous, et je vous promets de tout prendre de votre main, même du poison“. Ma réponse fut, que je ne refuserai pas de le loger chez moi, après qu’il aura pris des remèdes l’espace de trois semaines; je le menaçai même do ne plus revenir le voir à Sonnenstein. Il demeurait infléxible, et je le quittai la mort dans l’âme. Au bout...