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    1. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    2. Батюшков — графу Нессельроду К. В., февраль 1822.
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    3. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Батюшков — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820.
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    Часть текста: — Италинскому А. Я., 2 (14) декабря 1820. Батюшков К. Н. Письмо Италинскому А. Я., [2 (14) декабря 1820 г. Рим] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 565—566. CCLXXXV. А. Я. Италинскому. —— (2-го/14-го декабря 1820 г. Римъ). Monsieur l’envoyé! Son excellence m-r le comte de Stakelberg auprès duquel j’ai eu l’honneur de servir, étant lui-même sur le point de quitter Naples, m’a donné l’ordre de me rendre à Rome. L’air volcanique de Naples ne me convenant pas, j’avais depuis bien longtems désiré un congé illimité, ou d’être attaché à une autre mission, et en ai fait la demande à mon chef. Aujourd’hui que je me trouve à Rome, je serais au comble de mes vœux, si votre excellence daignez agréer ma très humble et très respéctueuse prière, celle, monsieur l’envoyé, de m’accorder la faveur de continuer le service impérial sous vos auspices et de vouloir bien demander pour ...
    2. Батюшков — графу Нессельроду К. В., февраль 1822.
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    Часть текста: Батюшков — графу Нессельроду К. В., февраль 1822. Батюшков К. Н. Письмо графу Нессельроду К. В., [февраль 1822 г. Дрезден] // Батюшков К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 3. — 1886 . — С. 575—576. CCXC. Графу К. В. Нессельроду. —— (Февраль 1822 г. Дрезденъ). Monsieur le comte! C’est avec le sentiment de la plus vive et la plus profonde reconnaissance que j’ai appris l’intérêt que Sa Majesté a daigné me marquer, ainsi que sa volonté suprême à mon égard. Je me sens bien malheureux de ne pouvoir être utile au service de notre Auguste Maître, au point qu’ il m’est permis de le désirer, mais j’ y apporterai comme par le passé un dévouement sans bornes et un honneur sans reproche. La justice que votre excellence se plait à me rendre, en ne doutant seulement pas de mes sentiments, m’est flatteuse au delà de toute expression. Je la prie d’agréer ici un nouvel hommage de ma reconnaissance et du profond respect, avec lesquels j’ai l’honneur d’être, monsieur le comte, de votre excellence le très humble et très obéissant serviteur Batuchkof. Dresde, le 1 / 13 fevrier 1822. Примечания CCXC. ГРАФУ К. В. НЕССЕЛЬРОДУ. Февраль 1822 г. Дрезденъ . Подлинникъ въ архивѣ министерства иностранныхъ дѣлъ .
    3. Пушкина — Жуковскому В. А., 23 марта 1825 г.
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    Часть текста: К. Н. Сочинения: В 3 т. — СПб.: П. Н. Батюшков, 1885—1887. Т. 1. — 1887 . — С. 330—331 (1-й паг.). Е. Г. Пушкина къ В. А. Жуковскому. Dresde. Le 23 mars 1825. Monsieur! Avec quel sentiment de joie je prends la plume en main, pour vous annoncer l’heureuse nouvelle, que notre infortuné ami vient de se soumettre enfin à un traitement suivi! Votre coeur bon et sensible comprendra à merveille tout ce qu’éprouve le mien aujourd’hui, en vous transmettant la lettre ci-jointe. J’ai eu deux fois la triste douceur de voir le cher et malheureux Batuchkof: j’avais employé auprès de lui l’éloquence d’une amitié profondément sentie, et le tout en vain; son obstination à repousser les remèdes faisait mon désespoir. Lors de ma dernière visite, je renouvellai mes instances, il me dit: „Si vous voulez que je me fasse traiter, emmenez moi à Dresde, laissez moi loger sous le même toît que vous, et je vous promets de tout prendre de votre main, même du poison“. Ma réponse fut, que je ne refuserai pas de le loger chez moi, après qu’il aura pris des remèdes l’espace de trois semaines; je le menaçai même do ne plus revenir le voir à Sonnenstein. Il demeurait infléxible, et je le quittai la mort dans l’âme. Au bout de quinze jours j’en reçus une lettre, dans laquelle il me renouvellait ses prières. Je me hâtai de lui répondre, que tant qu’il s’obstinerait à me refuser ma demande de se soumettre aux avis de m-r Pinitz, je me croyais en droit d’être ...